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La magie de la lumière

La lumière naturelle est classiquement représentée par les sciences physiques, comme étant d’une double nature, ondulatoire et corpusculaire en fonction de ce que l’on veut mesurer, le comportement ondulatoire ou le comportement corpusculaire. Cette observation expérimentale ne correspond pas à ce que nous pouvons constater dans notre propre vie, parce que nous en excluons les conditions d’espace-temps. Si en premier lieu nous tenons compte du facteur temps, alors la lumière se présente comme un phénomène ondulatoire. Si en deuxième lieu nous tenons compte du facteur espace, alors la lumière se présente comme un phénomène corpusculaire. Si nous ne mettons pas de frontière à ces deux facteurs, alors nous pouvons voir que le temps-espace ou l’espace-temps, se subdivise en cycles de temps et en cycles d’espaces. Plus nous diminuons la durée d’observation de la lumière et plus celle-ci passe de l’onde au corpuscule, le photon. Cela veut simplement dire que le temps frise le cycle dans notre vision physique actuelle, mais en réalité il redevient linéaire si nous continuons son observation en changeant notre point de vue (extérieur puis intérieur) et ceci par effondrement spatial, dans une alternance régulière et continue.

Qu’est-ce qui a changé ? Le point de vue de l’esprit lors de l’observation. Comment cela est-il possible ? Il y a une relation entre l’espace-temps (PV extérieur) et le temps-espace (PV intérieur). Pour un esprit singulier, à l’observation d’un environnement extérieur à lui-même il doit sa possibilité de conscience à un référentiel d’espace-temps abstrait où il peut classer et organiser les phénomènes naturels inhérents à son fonctionnement. A l’observation d’un environnement intérieur à lui-même, l’esprit doit sa possibilité de conscience à un référentiel concret de temps-espace où il peut là aussi, classer et organiser les phénomènes naturels inhérents à son existence. Il y a donc continuité entre ce qui se passe à l’extérieur de l’esprit et ce qui se passe à l’intérieur de l’esprit, seul change le point de vue ou référentiel (il est inversé).

Pour comprendre la lumière il faut nous occuper de la matière physique. Pour cela il faut adopter dans notre réflexion la notion de cohérence logique, car c’est elle qui nous donne l’espace de notre réflexion. Partons d’une idée nouvelle, et si la matière physique était l’incarnation d’un pouvoir de transcendance ? La principale propriété que nous relevons de la matière est sa masse (qui ne correspond pas à son poids mais à sa nature). L’attrait physique de la matière serait lié à son pouvoir de transcendance de la Réalité. Cela implique que la communication physique de cette transcendance aurait pour nom, la gravitation. Comme il y a peu de matière ordinaire dans l’univers face à son absence (4,5%), il existe bien l’équivalent d’une force négative qui corresponde au 95,5% d’absence de matière ordinaire. Nous sommes dans la tentative de compréhension d’un schéma global, aussi nous nous en tenons à des considérations générales.

Le facteur usuel d’une communication symbolique comme la parole, est de pouvoir transcender les idées reçues pour les transformer. Appliquons ce principe à la gravitation et constatons qu’au premier abord, la gravitation est un phénomène qui organise la matière par son influence sur les masses respectives de ce qui constitue les objets matériels. Restons dans le rapport des « forces » en présences, 4,5 % de matière est responsable d’une « force » positive (attractive) et 95,5 % est responsable d’une « force » négative (répulsive).
Ce qui supporte une faculté de communication entre deux personnes semblables, c’est le fait fondamental qu’ils soient en vie. Dans l’univers pourquoi cela ne serait-il pas pareil ? Donc nous aurions essentiellement, une communication transcendantale par l’effet de matière qu’est la gravitation, et une vie systémique organisatrice des nécessités de communication entre les objets physiques, par la force d’expansion éloignant ces objets l’un de l’autre.

Que dire d’autre que tout est en vie dans l’univers, pour l’ensemble de ses phénomènes le constituant, comme tout est en communication puisque son horizon n’est que postulé. Alors que vient faire la lumière sur cette scène universelle ?

Encore une fois nous allons bousculer un peu la physique fondamentale, mais surtout ses choix théoriques. La gravitation est un rapport de masse à masse entre deux objets physiques. Si nous avons affaire à une communication par transcendance d’un effet de la matière d’un objet sur un autre, alors comme dans un honnête dialogue, les deux parties font évoluer leurs points de vue. Pourquoi n’en serait-il pas de même pour les masses des objets physiques ? Il nous faut donc accepter des masses variables pour les objets physiques en fonction de leurs organisations spatiales (point de vue contraire à l’idée actuelle mais …). L’influence de l’un sur l’autre et réciproquement, fait jouer les masses de chacun donc leurs rapports gravitaires, ainsi donc les objets génèrent des ondes gravitationnelles. Mais cela n’implique pas que leurs structures mais aussi leurs mouvements (leurs dynamiques). Ce n’est pas parce que nos instruments technologiques ne sont pas assez puissants que ce que nous ne pouvons pas observer n’existe pas ! Non seulement les masses physiques des objets varient, mais leurs effets gravitationnels aussi, ce qui permet d’introduire une dynamique de l’ensemble où la variabilité des masses se trouve corrélée à la variabilité de la gravitation, de là à ce que les objets émettent de la lumière…

Nous nous trouvons maintenant à un niveau d’échelle physique qui varie entre des infinis, microscopique et macroscopique. Ce qui se passe dans la transformation personnelle d’une vie, se passe d’une manière identique pour tous les objets de l’univers. C’est ainsi que nous observons la variabilité de forme, de nature, et de masse de chaque objet universel à chaque instant. En dehors du cycle de naissance, vie, mort pour tout objet, nous avons un coefficient de transformation à chaque instant de la vie d’un objet universel, comme un être humain mais aussi une planète, un astre, une galaxie, ou un insecte, un oiseau ext … Si l’expansion est la caractéristique de la vie, alors la transformation est la caractéristique de son renouvellement, qui n’est pas conception mais effet d’une maîtrise consciente opérée par cette vie systémique.

Si nous acceptons la quantification de la gravitation sur une échelle des infinis, alors la quantification règne en maître absolu sur tous les phénomènes naturels rencontrés dans l’univers, espace et temps compris. La lumière devient donc un état de la matière comme un autre, dépendant pour son apparition et son comportement, de conditions contextuelles d’espace et de temps qui rendent factuelle la nature de ses observations (ondulatoire ou corpusculaire). Nous introduisons ici des mesures de quantité pour la gravitation, qui sont des conditions d’espace particulier et de temps particulier, dont seul le point de vue assure et conditionne une relativité absolue de leurs manifestations.

N’oublions pas que la lumière est un spectre d’énergie électromagnétique (de mouvement), elle se présente sous différents aspects (des rayons gamma aux ondes radio), dont une partie correspond au spectre visible par les yeux. Bousculons encore un peu les dogmes. Tout dans l’univers est de nature électromagnétique, voire électro-magnétique car nous avons affaire à deux phénomènes reliés. Si nous poussons le paradigme énergétique au maximum d’une clairvoyance intellectuelle, alors il ne reste plus qu’à accepter que la matière physique se transcende elle-même par sa propre constitution de lumière (sens énergétique). Donc la transformation personnelle est bien le mécanisme qui permet à un esprit singulier de donner une vision à la vie, par l’instrumentation de la matière sous la forme d’un corps physique animé par son processus d’existence, et qui est représentée consciemment par un fonctionnement humain qui incarne la réalité d’un mécanisme de transformation perpétuelle.