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La réalité de l’omniscience personnelle

Il faut pouvoir dépasser la réalité de conscience qui ne s’accorde qu’à la connaissance intégrale d’un plan de réalité. Il faut accepter que la conquête par l’esprit soit que celui-ci se dote des outils, instruments intellectuels et sensibles, pour se défaire de la conscience d’un plan, sa quantité d’inconscience. C’est-à-dire relever l’ensemble des causes dont les effets établissent l’intégralité d’un plan conscient d’un niveau de réalité. Si une personne passe d’un plan de conscience personnelle à une omniscience personnelle, c’est avant tout pour se donner une possibilité de cheminement dans ce que traduisent les lois universelles à son encontre.

Celle-ci permettent à l’intellect de se doter de possibilités de mesures des propriétés physiques ressenties, ou expérimentées par son niveau de conscience. C’est par le relais cognitif qu’une physique va pouvoir être donnée à l’institutionnalisation de l’information, comme moyen de transformation du plan de conscience personnelle en cheminement d’omniscience. Il va donc falloir que l’esprit axe son travail cognitif sur les modèles de représentations mentales qui sont la conséquence des états de conscience personnelle. C’est donc en privilégiant le savoir sur l’apprentissage, qu’une personne accède à la réalité de son être au travers de la reconnaissance potentielle de tous les êtres universaux.

Cette idée de vouloir utiliser le cheminement d’omniscience pour fragmenter le psychisme individuel et ainsi extraire l’énergie nécessaire au dépassement du plan de conscience personnelle, est le prérequis pour une conceptualisation d’action sur lesquelles il sera possible d’adjoindre de nouveaux états de conscience. C’est grâce à ces nouveaux états de conscience qu’il est possible de définir exactement le lieu de genèse du réel, le corps physique, environnement authentique de l’être humain et véritable définition de son objectivité. La conscience est génériquement issue d’un mouvement révélateur d’un mécanisme d’interaction comme premier principe de relation, érigé en processus libérateur d’énergie. L’effet majeur de ce mécanisme est que l’énergie apparaît du corps physique corrélativement à la conscience personnelle, ce qui lui permet d’émerger sous la forme d’un mouvement induit au centre des interactions, par le différentiel de polarité d’une vie d’espace corporel demandeuse d’un temps de conscience psychologique pour s’accomplir.

Deuxièmement qu’une information va se présenter sous la forme d’un composé de matière transmis par le génome individuel, ce qui le rend générateur d’une force gravitationnelle. Il est tout aussi aisé de comprendre que le temps ne commence pas avec l’expérience des sens mais avec la reconnaissance, par une sensibilité personnelle, d’un mouvement endogène. La réalité d’individuation prend son origine dans un mécanisme d’espace-temps physique dont chaque étape doit être conscientisée, ce qui forme le cheminement d’omniscience individuelle. Et enfin nous comprenons que le soi intégral n’existe pas indépendamment de toutes les choses du monde, celui-ci étant pris comme l’univers des phénomènes perceptibles.

Enfin il nous faut montrer pourquoi la conquête d’une relativité absolue sert l’origine du réel par le libre-arbitre, ce qui permet à la personne de choisir sa réalité. Ainsi il sera alors aisé d’accepter que l’ensemble de ces processus soit ce que recense une structure biophysique comme l’ADN, ce qui explique le renvoi de la fonction du génome à la seule origine individuelle de l’humain par un savoir conscientisé.