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L’identité non mental du corps : la conscience humaine

Pour ce faire elle va avoir besoin d’un génome, d’un organisme, et d’un corps qui vont être médiatisés respectivement par l’ADN cellulaire, les cellules, un métabolisme. Cet environnement universel est la conscience humaine pour un être humain. C’est pour cela que nous attirons votre attention sur la nécessité d’un psychisme équilibré à l’origine des possibilités physiques d’une réalité d’un corps, indépendant d’un environnement. Nous devons arriver au résultat que la matière consciente qui nous compose soit le produit d’une activité d’un vide animé par une orchestration de l’intelligence, celle-ci étant nourrie par l’exercice d’un libre-arbitre sur des informations formant l’environnement humain.

Nous voyons ainsi que le développement de la conscience est le résultat de la résolution de l’ensemble des problèmes de l’esprit à concevoir des comportements, sur fond de liberté, nécessaires à l’accomplissement individuel d’une conscience humaine. Toutes les lois physiques se réfèrent à un comportement d’entités évoluant dans un vide physique, c’est pour cela que nous pouvons attribuer un caractère universel à ces lois. Par le jeu de l’esprit se donnant la possibilité de créer les moyens techniques d’en révéler leur présence. En ce qui concerne le développement humain, nous nous attacherons à bien comprendre qu’il s’agit d’un ordre individuel, ce que fait l’un, l’autre n’est pas forcé de le faire, ce qui donne une portée collective à tout acte de conscience humaine.

L’amélioration de l’être humain passe par l’amélioration des performances organiques dont la visée est l’adaptation à de nouvelles contraintes environnementales, dont il faut avoir conscience au préalable. C’est par l’esprit qu’une personne peut être amenée à concevoir l’invisibilité de ce nouveau milieu. Il s’agit ici d’appliquer un transhumanisme naturel dont le but méthodologique est de concevoir une évolution intelligente, des rapports que pourraient entretenir des organes avec un milieu enrichi d’une compréhension à la fois plus fine et plus détaillée, d’un milieu de vie. L’espace se définit par trois axes orthogonaux dont le volume sera le résultat d’un produit des trois longueurs mesurés sur les trois axes de cet espace constitué.

Si, car seul ce qui change alors, est la forme de ce volume, donc les axes et leurs calculs de longueurs ne sont pas pertinents pour décrire l’espace, mais la surface de son volume lui, l’est. Intéressons-nous au contenu de cet espace Si nous voulons en avoir l’information, il nous faut tenir compte de la nature de ce volume. L’énergie qu’il contient peut le médiatiser, car seule l’énergie peut être additionnée ou soustraite dans un même volume défini par l’information de sa surface. Si nous additionnons l’information de sa surface plus l’information de son contenu et que nous rajoutons l’information de durée que nous escomptons de la permanence temporelle de ce volume d’espace, nous avons les trois informations nécessaires sur la nature de la matière qui doit constituer les parois de ce volume d’espace.

C’est ainsi que l’on peut comprendre que le temps soit un équivalent de la qualité de matière comme l’espace soit un équivalent de la qualité d’information descriptive. Or la qualité de matière est une information qui s’associe aux deux informations d’espace du volume, nous avons donc la possibilité de définir le temps par trois informations et l’espace par trois informations aussi . Il y a donc commutativité entre le temps et l’espace , ce qui donne la possibilité d’un rapport entre eux dont le taux d’informations réciproques va pouvoir qualifier un phénomène d’expansion ou de contraction. Donc le rapport entre l’espace et le temps est fonction de la quantité d’énergie nécessaire à produire les informations descriptives des parties d’un système observé.

Comme le différentiel d’énergie se fait sous la forme de quantités, nous avons donc une formule de quantification d’énergie pour mesurer le degrés d’information d’un système qui correspond à son degré de complexité, et qui devient l’équivalent de sa conscience. La relativité absolue est donc le concept qui rend compte d’un comportement de cause à effet multidimensionnel qui fait conscience humaine, car faisant évoluer une qualité d’espace par une qualité de temps, et inversement de par la proportionnalité de leurs quantités d’énergie. Il n’est donc pas étonnant de retrouver dans l’expression génétique, support de l’information biologique, les trois bases nucléiques servant à la constitution d’un codon parmi les soixante quatre codons donnant lieu à la formation des protéines essentielles à la vie cellulaire. Il nous restera juste à intégrer la différenciation des éléments comme étant responsable de l’évolution par niveaux dont le principe reproductible s’assimile au comportement fractal d’itération .