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Ondes, fréquences et vibrations, les enjeux d’une régulation vitale

Puisque l’onde, la fréquence, la vibration ont des effets sur leurs environnements respectifs, alors nous pouvons accepter qu’elles soient des causes efficientes. Si nous situons chacune d’elles dans un référentiel de temps, alors il devient possible d’enchaîner les causes à effets pour en faire des chemins chronologiques. Commençons par une métaphore, lorsque nous nous trouvons dans un carrefour de deux routes, nous avons le choix de prendre l’une ou l’autre route. Nous ne pouvons physiquement que nous engager sur une des deux routes, mais pas sur les deux à la fois.

Maintenant revenons à notre carrefour, ce qui va déterminer notre choix de l’une ou de l’autre route est le lieu de notre destination finale. Soit nous considérons que l’information nous vient du futur, car l’arrivée à notre destination se situe dans le futur, soit nous considérons que l’information vient du passé, car il nous faut nous souvenir de là où nous voulons aller, ce qui nous ramène au passé de notre décision. Nous comprenons que dans un cheminement du temps qui relie des causes à des effets, pour former une chronologie irréversible nous devons faire intervenir des informations ayant trait à des espaces de représentations. Mais lorsque dans un temps, nous faisons intervenir un espace ou inversement, nous générons une dynamique qui n’est que statique, tant que nous n’y mettons pas des valeurs au phénomène situé dans l’espace ou au phénomène situé dans le temps.

L’exemple typique est de faire monter le régime du moteur d’une voiture tout en étant à l’arrêt, vitesse enclenchée et freins bloqués, la puissance et la vitesse ne sont que potentielles, donc statiques. Que nous lâchons les freins de la voiture, qui nous fait partir dans une direction donnée. Les quantités de temps sont bien des informations, mais qui peuvent être du passé ou de du futur suivant si nous nous prenons comme référentiel , ou si nous prenons la topologie des lieux . Les quantités d’espace sont bien des nombres, puisque la seule possibilité de les différencier est d’utiliser leurs temps de présence.

Malheureusement rien ne peut empêcher la fusion des temps de présence ou leurs séparations. Nous nous retrouvons avec un espace et un temps, dont nous ne pouvons rien faire car chacun des deux immobilise l’autre par sa contrainte de nature physique. Voyons comment nous pourrions comprendre cela. Si l’espace et le temps abandonnent toute implication dans la notion de référentiel, alors ils peuvent incarner une topologie grâce à l’homologie de leurs caractères.

Pour bien comprendre cela, il nous faut maintenant faire intervenir la notion de dimensionnalité. Une homologie est une correspondance entre deux points donnés, qui permet de transformer une figure géométrique en une autre équivalente, en vertu d’une hérédité commune . Le présent va donc être représenté pour une quantité d’espace, par l’introduction d’une quantité de temps qui sépare les quantités d’espace en vibration, fréquence, onde en fonction de l’information que renvoi chacune d’elles au temps, pour en différencier ses quantités. Nous aurons donc un espace quantifié en énergie correspondant à la variation de masse qui va exprimer un comportement analogue à une vibration, une fréquence, une onde donnant forme à l’espace pour une fonction dans le temps.

Quant au temps, le présent va être représenté par l’introduction d’une quantité d’espace qui va séparer le temps en quantité de vibrations, de fréquences, d’ondes donnant forme au temps pour une présence dans l’espace. Nous voyons que ce mécanisme qui relie l’espace-temps à la variation de la quantité de masse, due à l’influence des champs de torsion des autres objets, issus du néant, détermine en fonction de la masse d’un objet, un contexte qui sera appelé dimension, en fonction des degrés de liberté que ce contexte permettra de donner aux comportements de l’objet. Enfin il ne faudra pas confondre degré de complexité et dimension. En effet la complexité peut très bien exister dans chacune des dimensions, car elle ne définit que la quantité de relation d’un point avec son contexte.

En ce sens la complexité est purement spatiale et n’a de compte à rendre qu’à l’intérieur d’une plage de temps. Dans le présent de notre réalité, l’espace a trois dimensions donc le temps à lui aussi trois dimensions. Si notre espace est défini par la largeur, la hauteur et la profondeur, alors notre temps est défini par son écoulement , sa fluidité , sa présence . Notre corps est donc bien l’objet d’un fonctionnement humain, dont une conscience lui permet une interaction avec l’universel, par le biais d’une action commune envers tous les objets de l’univers comportant une masse , et ceci grâce au champ de torsion de ce qu’il faut bien définir comme étant un éther mécanique spatial.

De ce fonctionnement humain, nous pouvons aisément lui attribuer un degré de complexité, manifesté par la formidable organisation de ses régulations vitales dues à sa constitution, ainsi qu’une possibilité de transcendance par la conscience que l’on peut en avoir.