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Pourquoi penser l’immortalité est une nécessité

Penser l’immortalité est nécessaire pour comprendre en quoi le phénomène de résonance est le résultat escompté d’un fonctionnement vital. Par définition, plusieurs éléments sont en résonances lorsqu’ils se retrouvent périodiquement dans la même configuration après avoir fait un nombre de circonvolutions potentiellement différents. Nous allons voir au cours de cet article comment et pourquoi un fonctionnement vital peut être considéré comme un fonctionnement humain évolutionnaire. Nous pouvons avancer ici qu’un phénomène de résonance physique dispose d’un droit à l’existence si nous considérons cette résonance comme le résultat vers lequel les comportements des cellules biologiques se dirigent. Une nécessité se fait jour au travers de la réalisation d’une interface ultra précise, entre un corps physique et une conscience hyperdimensionnelle sous la forme d’une conscience. Il convient donc de revenir sur l’ensemble des acteurs d’un tel processus pour comprendre en quoi penser l’immortalité contribue à l’analyse de ses différents aspects.

Nous avons déjà vu précédemment qu’une sensibilité à nous-mêmes pouvait acquérir une dimension objective lorsqu’elle prend la place de nos sentiments, qui deviennent alors conjoncturels. Penser l’immortalité peut être vue comme une possibilité donnée à la conscience de pouvoir élargir les prérogatives d’un fonctionnement humain en instituant une dimension évolutionnaire à la nature de sa constitution. Sur ce plan-là, le fonctionnement humain est assimilable au fonctionnement vital d’un organisme à faire corps d’une intégration fonctionnelle par les différents éléments qui peuvent contribuer à son existence. La mort peut donc être le résultat d’un fonctionnement humain inapte à intégrer les propriétés évolutionnaires de ce qui constitue l’essence de la vie : le sens d’une conscience.

Au sein de cette réflexion sur ce pourquoi il faut penser l’immortalité, nous avançons le fait qu’une âme individuelle est une conscience hyperdimensionnelle, dont les propriétés multidimensionnelles du corps physique sont envisagées comme des conditions personnelles à l’origine d’un fonctionnement humain. C’est la reconnaissance des propriétés de cette conscience qui permet à celle-ci d’engager le fonctionnement humain dans une voie évolutionnaire vers la constitution d’un corps aux comportements multidimensionnels. C’est donc bien un fonctionnement humain qui développe les capacités génétiques d’un corps, et non l’inverse. Ce fonctionnement humain peut être vu comme la volonté atypique d’une conscience à vouloir s’adapter aux différents mondes qui l’entourent et la constituent. C’est ainsi que l’on peut comprendre qu’un registre de comportements puisse être l’objet d’une intelligence. Après la reconnaissance d’un monde naturel, le monde humain ne peut trouver son futur que par l’acceptation d’un monde cosmique.

Si l’on admet la corrélation d’un fonctionnement humain avec le fonctionnement de la vie biologique qui soit adapté à l’être humain, alors force est de constater que les cellules biologiques en sont les actrices. Étant entendu que le sang est le vecteur physique des productions cellulaires d’un organisme, ce qui s’écoule par le sang dans un corps peut être assimilé à une énergie spatiale puisque celle-ci additionne l’ensemble des produits cellulaires de l’organisme. Cette énergie spatiale transforme alors le corps physique en informations génétiques de par sa nature sanguine, pour y installer un comportement de croissance organique. C’est parce que nous parlons d’un fonctionnement, et non d’un état, que le domaine génétique se trouve être initié par la transformation physique et non l’inverse. Tout ceci démontre que ce sont bien les cellules biologiques qui sont les maîtresses d’un jeu de la vie. Mais celui-ci comporte des règles dont le fonctionnement humain est l’artisan, sous l’impulsion d’une transformation personnelle présidée par les propriétés hyperdimensionnelles d’une conscience. Enfin, ce sont elles qui sont responsables de la fabrication de l’unité corporelle qui devient la matrice des propriétés d’individuation et de centrage de cette conscience aux propriétés universelles.

Nous sommes bien d’accord qu’aux propriétés hyperdimensionnelles d’une conscience soit accordées des propriétés multidimensionnelles d’un corps physique ; mais alors comment cela est-il réalisable ? Par un phénomène de résonance physique dont nous allons discuter maintenant le bien fondé. Mais avant tout, il faut préciser la valeur d’un fonctionnement : que le « faire » soit au service du bien, ce qui engage l’être humain sur le terrain d’un bien-faire les choses sur lequel il s’avance. Au sens strict du terme, nous n’avons aucune liberté si ce n’est celle de s’affranchir du joug d’une inconscience, grâce aux informations que l’ion peut découvrir sur l’essence d’un univers spatial. Les seuls outils qui sont à notre disposition sont les forces universelles que l’on découvre en son sein. Nous pouvons faire cette découverte uniquement par le fait qu’une conscience qui s’individualise, et ce centre est un lieu d’absence de toute force physique. La question qui se pose alors est de savoir si l’obtention d’une masse corporelle idéale n’est pas dépendante de notre capacité à comprendre qui sont les véritables maîtres du temps dans notre vie. En effet, en regard de cette réflexion, nous pouvons nous demander si nous régissons réellement notre destinée temporelle. La seule chose que l’on peut dire, c’est que nous avons la possibilité d’inscrire notre vie dans une orchestration naturelle qui peut faire sens. C’est au travers de ce cheminement que nous nous dotons de facultés laissant la possibilité de répondre à cette question.

Le but final d’une transformation de l’être humain est de constituer un acteur physique à même de pouvoir exprimer des comportements multidimensionnels capables de s’adapter aux différents mondes découverts par les propriétés hyperdimensionnelles de la conscience. Mais ce corps ne peut être servi que par un profil psychique dont la puissance est proportionnelle aux informations qu’il peut traiter, sur lui-même et sur son environnement. Nous pouvons maintenant répondre à la question de la nature de cette résonance supposée, qui n’est autre que la recherche par le fonctionnement humain d’une interface physique qui puisse corréler les différents processus physiques d’un corps devenant multidimensionnel par les facultés d’une conscience hyperdimensionnelle. C’est ici que nous rencontrons le système biologique particulièrement important et responsable de la différenciation des genres humains : le système hormonal.

L’existence de ce système est au cœur d’une métamorphose perceptive, qui donne à celle-ci une capacité évolutionnaire en transformant les perceptions de l’espace en perceptions de temps. Il y aurait donc une perception masculine différente d’une perception féminine. Comment cela peut-il se mettre en place ? Le système hormonal est un système de corrélation biologique. Son rôle est d’assurer une répartition des facteurs biologiques en fonction des différents éléments qui le composent, sur les différentes productions biologiques. La matrice de ce fonctionnement relève de la faculté d’omniscience d’un esprit individuel à matérialiser le travail de l’inconscient naturel. Ce n’est qu’en retour de cette effectivité hormonale qu’un organisme impulse les raisons sélectives d’un intérêt à un environnement pour sa personne. C’est bien au cœur celle-ci que se situe la mise en place des critères de conscience, qui impliquent la nécessité des choix personnels qui vont façonner les conditions personnelles d’une mise à jour des réalités humaines. C’est ainsi que l’être humain se trouve projeter dans une configuration temporelle plus que spatiale, par l’institution de ses rythmes biologiques dont l’expression se trouve conduite par les degrés de maturité perceptive d’un acteur psychique individuel. Celui-ci a donc la fonction de rapprocher la constitution d’un être humain différencié avec les différents éléments d’une constitution universelle.

Penser l’immortalité revient ainsi à ouvrir l’esprit sur une histoire personnelle, où le fait d’être humain est lié aux mêmes éléments que ceux qui sont découverts au sein d’un espace universel, et dont il est possible d’en retrouver les informations. L’expression des rythmes biologiques n’instaurent pas la réalisation d’un état fonctionnel organique, mais la possibilité que des cycles biologiques puissent évoluer vers l’intégration des différents niveaux de fréquence d’apparition d’éléments vitaux, également partagés entre toutes les entités fonctionnelles en donnant une diversité de formes à ce contenu universel.