Mais revenons à notre cerveau, il est curieux de constater que son architecture semble respecter une géométrie spatiale, dont les proportions sont dictées par le nombre d’or, nombre que l’on dit exprimer les proportions parfaites du type d’une spirale d’or ou spirale logarithmique. Comprenons que cet agencement constitutionnel est fortement partagé sein des phénomènes naturels (coquillage, végétaux, galaxie, vortex ext…). Il existe certains travaux qui mettent en corrélation cette forme géométrique et la fonction de croyance, ce qui pour nous, semble assez cohérent dans le schéma de réflexion développé dans cet article.
Ce que nous laisses suggérer la forme du corps humain avec ses proportions géométriques, c’est qu’il est analogue à une réalité communiquée entre toutes les organisations des phénomènes naturels, ce qui laisse penser qu’une finalité individuelle puisse être liée à une coopération des fonctions de conscientisation. Ceci nous ouvre les portes à une réflexion approfondie sur la nature de la conscience et son comportement. Voyons comment nous pouvons développer cela. En calant la fonction d’intégration fonctionnelle par des comportements de prises de conscience en fonction d’un temps universel et non d’un temps solaire de 24h, nos processus biologiques deviennent secondaires aux constitutions physiques des protéines qui l’animent. L’induction d’une fonction harmonique sous-jacente à la constitution de l’ensemble des protéines organiques semble expliquer pourquoi il se dégage différentes structures protéiques. Pour établir l’organisation fonctionnelle d’une existence de vie, il faut en effet une logique fonctionnelle dont l’intégration suive un mouvement d’orchestration.
Puisque toute création de ces molécules se font à partir d’un agencement atomique à l’oeuvre dans les acides aminés, qui suivent une dynamique schématique de recherche d’équilibre électrostatique pour chaque protéine, il faut donc un équilibre des charges élémentaires (positive et négative) qui puisse maintenir ces structures en forme. C’est donc bien grâce à cette cohésion physique, qui les protéines acquièrent leurs capacités fonctionnelles.
Si nous restons au niveau d’une biomécanique structurelle des protéines, alors nous avons juste un jeu des différentes interactions protéiques qui nous donnent la possibilité d’un fonctionnement biologique, mais sans gouvernance globale. S’il est possible de jouer sur l’assemblage des charges élémentaires, alors nous sommes dans une régulation physique sur la constitution même de ces protéines, ce qui fait intervenir une gouvernance électrique au travers de leurs chimie. Mais comment intervient-on dans un dipôle électrique ? Par le retrait ou l’apport de photon. Rappelez-vous le comportement de l’ADN fantôme accompagnant l’ADN structurel. Par sa capacité d’absorber des photons extérieurs à lui, il intervient comme source de régulation électrique de la chimie de l’ADN structurel. Il ne manque plus alors qu’un processus d’intégration fonctionnelle pour réguler l’ensemble, et c’est pour cela que nous avons un cerveau. C’est exactement comme cela que nous observons la façon de fonctionner des constituants du système nerveux, par une organisation électrique existante en parallèle d’une organisation structurelle des constituants biologiques, ce qui régule ainsi l’ensemble du fonctionnement cellulaire du tissus nerveux.
Il nous faut revenir sur les notions apportées par la Protéodie (l’étude sur la relation entretenue dans la formation des protéines par les ondes physiques), qui rappelons-le, démontrait l’existence d’une onde émise lors de la fin du protocole de constitution d’une protéine, par l’intégration de cette onde par la protéine qui lui permettait d’en fixer sa forme finale. Ce mécanisme se retrouve à tous les niveaux d’échelle d’un corps physique, ce qui nécessairement se retrouve au niveau du système nerveux. Si le système nerveux officie au travers de la régulation physique des ADN cellulaires, alors l’être vivant se retrouve dans un état de forme humaine accomplie par l’expression complète des informations contenues dans les ADN. Mais nous avons vu que les molécules d’ADN ne contenaient en fait que les protocoles de réalisation des protéines, mais pas les informations qui leur donnaient leurs formes opérationnelles. Et nous avons vu que cela était dû à l’implication d’un ADN fantôme constitué d’énergie photonique, parallèle aux ADN de structure.
Il devient donc alors possible d’imaginer que le pattern final d’un être humain, soit le résultat de l’implication de ce qui peut nourrir cet ADN fantôme en énergie photonique, et qui permettrait d’intégrer la forme d’un être humain abouti dans plus grand que lui, sa vie consciente. Ce mécanisme serait d’abord porté par la relation à un environnement extérieur, lui fournissant par le biais des sens, l’énergie nécessaire à une transformation personnelle via ses fonctions cognitives. Cette transformation serait suivie d’une évolution individuelle par l’existence d’une influence microphysique due aux micro-ondes de gravité et de leurs combinaisons avec une fonction d’intelligibilité conceptuelle, responsable du traitement de l’effet de matière ressenti au niveau du sentiment corporel.
En conclusion, cela serait donc par l’émergence cérébrale d’un savoir conceptuel, que l’être humain peut générer une maîtrise consciente sur ce processus microphysique qui agit au sein de ses molécules. Cela implique donc l’influence d’un contenu universel de l’espace où la vie physique introduit l’émergence d’un super-organisme au travers de la gestion de micro-ondes de gravité. Ce super-organisme potentiel peut être constitutif de l’idée d’un Homme cosmique en tant qu’espèce. Cela induit pour chacun, d’intégrer une composante fonctionnelle d’espèce vivante. Cette composante sert pour aider à comprendre que l’humanité est constituée de races différentes, ce qui représente l’indice majeur d’une nécessité de coopération par l’introduction d’une culture commune ouvrant sur l’universel.
C’est ici que le cerveau joue le rôle central d’un accordeur, qui permet au fonctionnement humain d’organiser par ses prises de conscience, élaborées au sein d’interactions, un esprit de conquêtes individuelles en recherche de dialogue avec son environnement existentiel. Chacun de nous devenant créateur d’une réalité physique, parce que les résultats de nos facultés cognitives en dirigent la production par des processus vitaux. Une autonomie est ainsi élaborée par des ADN cellulaires, qui permettent à une conscience de s’individualiser et se centrer, grâce à un processus initié par la transformation personnelle.
Dans ce schéma directeur fonctionnel, voir l’être humain comme un quasi-organe prend tout son sens. En effet, il devient évident que l’être humain suit une évolution de plus en plus précise, le conduisant vers une autonomie complète réalisée par l’actualisation d’un réalisme vital. Cette autonomie apportée à la conscience par une intelligence comportementale, permet aux différentes entités fonctionnelles, d’être actées par des états de conscience nouveaux et proactifs, ce qui favorise les possibilités d’une destinée choisie.