Les études humanologiques ont comme premier résultat d’apporter un soin clinique dont les effets escomptés sont de produire une actualité des moyens de fonctionnement du processus d’hominisation. Celui-ci est le schéma directeur fonctionnel qui amène un génome biologique à spécifier l’espèce dont il est le vecteur vivant par la transmission filiale pour ainsi mieux le réguler.
Le fonctionnement humain est l’équivalent de ce processus et son centre de régulation relève d’une faculté virtuelle dont le subconscient est le nom. L’étendue psychique semble se résumer en trois catégories ; l’inconscient, le subconscient et le conscient. L’inconscient peut receler l’ensemble de tout ce que les lois naturelles peuvent produire comme phénomènes potentiellement perceptibles, le conscient semble lui receler tout ce qu’un subconscient peut organiser d’un inconscient sous la forme d’informations à percevoir.
Il est donc pertinent de penser que la qualité du fonctionnement d’un subconscient soit à l’origine de la santé d’un corps, dont la réalité est obtenue par le résultat d’un fonctionnement de ce même subconscient. Pour un être humain, dont le génome assure la possibilité d’une combinaison universelle des protéines constitutives de l’organisme, il devient évident que le processus d’hominisation soit le fonctionnement du subconscient dans son désir d’exprimer naturellement, physiquement et consciemment, la qualité universelle d’une identité par un corps purement fonctionnel.
L’humanologie clinique donne accès à cette régulation naturelle, qui délivre en conséquence la restauration d’une intégrité fonctionnelle de l’ensemble des entités biologiques qui établissent la bonne santé des réponses systémiques d’un corps, aux dysfonctions générées par son environnement.
Ceci nous introduit à l’actualisation des possibilités d’un fonctionnement hyperdimensionnel de l’homme dont la véritable nature rencontre l’évolution du processus d’hominisation de l’être humain. Cette évolution est rendue nécessaire par un environnement s’ouvrant de plus en plus aux influences astronomiques du cosmos, dont une femme comme un homme doit savoir anticiper les conséquences dans la découverte d’une nouvelle alliance avec cette nature élargie.
En conclusion et à la question posée ; à quoi peut servir l’humanologie clinique ? Nous pouvons apporter comme réponse ; à soigner le cerveau pour guérir l’esprit qui soigne le corps physique.