Le temps relatif et le mode génétique de l’observation


Comment sortir de ces impasses théoriques dont font état les physiciens et qui ne peuvent pas nous aider dans la compréhension de notre propre nature. Si l’on décide de mesurer simultanément une position et une vitesse nous avons alors un état superposé . Du fait de cette impossibilité phénoménologique dans notre expérience macroscopique il est dit alors que la probabilité de présence soit en onde soit en particule est de 50%, il y a donc introduction d’un hasard fondamental dans le mode de manifestation des phénomènes à l’échelle microscopique. Ce qui établirait que l’observateur et l’objet observé ne soient qu’une même chose dès lors que nous abandonnons tout sens inhérent au fait de l’observation de son objet, en bref tout jugement de valeur.

Pour un observateur, si le système de valeurs expérimental est endogène alors son corps se comportera comme une onde, si le système expérimental de valeurs est exogène alors son corps se comportera comme une particule matérielle. Exit la constatation paradoxale de l’état superposé due à la mesure si l’on veut réintégrer l’expérience directe de la réalité pour chacun. Puisque le paradoxe n’est qu’apparent il n’y a plus de problématique d’un hasard dans la production d’un phénomène mais plutôt un déterminisme profond né du comportement d’une causalité par liberté exprimée par la réalité naturelle de l’être humain. Pour « l’intrication quantique » la même constatation peut être faite quant à l’origine de l’effet macroscopique incompréhensible des résultats de l’expérience.

Si nous considérons la destinée des deux particules corrélées, chacune assume son destin l’amenant à vivre dans un référentiel qui est le sien et qui appartient pour moitié au référentiel de l’autre. A ce changement d’échelle spatiale chaque particule vie un destin propre dans un référentiel commun différent du référentiel du système intriqué. Il est donc normal que l’origine native des deux particules influence en premier leur nouveau référentiel commun dans leurs destinées solitaires ce qui est corroboré par leurs états de mesure complémentaire vue de leurs propres référentiels. Chaque particule corrélée ayant un nouveau référentiel partagé pour moitié après leurs séparations du système des particules intriquées, si l’on mesure l’une ont induit un changement dans le référentiel commun de corrélation des deux particules différenciées.

Le changement de comportement de l’une par l’autre est dû au niveau du référentiel commun des particules solitaires qui est plus riche en informations car le niveau du microsystème spatial des particules corrélées est divisé en deux alors que la quantité de temps a augmenté. Le facteur instantané observé dans la distance de séparation est lié à l’existence de variables locales induites par un niveau d’espace-temps différent entre le référentiel des particules solitaires et le référentiel des particules corrélées. Il est important de tenir compte du travail scientifique en physique mais n’oublions pas que les scientifiques sont des humains dans un environnement social et que pour chacun d’entre nous seule compte les possibilités d’accession au réel. La conscience organise le savoir pour que l’esprit personnel centre son point de vue en la personne qui vie de cette conscience.