Mise en lumière du faux-égo


Le temps imaginaire est le moment où les événements surgissent d’une plus grande transcendance de la réalité commune. Psychologiquement c’est le moment précis du choix de subjectivité personnelle, entre porter son attention sur soi ou porter son attention sur les autres phénomènes, qui sera remplacé par porter son attention sur soi et porter son attention sur les autres phénomènes, ce qui revient à fusionner objectivité et subjectivité et rends compte d’une réalité de faux-égo individuel, véritable nature illusoire du sujet.

Il est ainsi préservé une objectivité commune sous la forme d’une relation entres les corps structurés, dans les domaines de vies, c’est à dire les différentes formes structurelles qui vont du simples au complexes. La nature interdépendante de ces différents étants, dans notre réalité commune, se fait dans un rapport d’espace ( tri-dimensionalité ) avec un temps nécessairement tri-dimentionnel ( un degré de présence, un degré de sens ( direction ), un degré de densité d’énergie ( informations ). Ce rapport doit être Inversement proportionnel et cyclique ( fractal ) pour exprimer le degré de complexité observé dans la diversité des réalités qui sont en présence.

Ce rapport d’interdépendance exprime aussi, aux différents niveaux d’observation, des micro-états qui font système par interdépendance relationnelle, ils manifestent des quantités d’énergies sous une forme d’informations, représentatives d’un mouvement de conscience objective, lorsque ce mouvement est compris.

La conscience est donc bien un phénomène instantané, qui tiens son origine d’une quantité énergétique, soit un degré d’informations qui sont organisées d’une façon cohérente. À ce stade de compréhension, posons nous une simple question, la logique est elle une nécessité pour les phénomènes de vies ou vient elle d’une méconnaissance de son organisation?

La pluralité des cultures de l’esprit et des manifestations phénoménales naturelles est  respectée si l’on accepte l’expérience de la libre conscience quand nous nous attaquons à la vraie nature de nos impossibilités, le faux-égo.