Soyons conscient qu’il s’agit de défricher des principes servant de moyens de compréhension, pour une évolution individuelle qui se veut créatrice d’humanité. C’est l’inclusion dans un système naturel, culturel et sociétal, qui nous oblige individuellement à penser la légitimité de notre existence par une approche physique. C’est pour cela que l’analogie faite par l’interprétation des flux de torsion en physique fondamentale, peut servir de base à une compréhension d’un fonctionnement de notre existence individuelle et humaine. Le développement de la conscience que l’on peut en avoir, nous permet d’accepter de faire évoluer notre réflexion, vers un concept d’information, qui puisse nous faire reconnaître le contenu libertaire de cette conscience.
Nous verrons que la conséquence pratique de cet état, est l’ouverture des possibilités d’exploration des dimensions de l’univers qui alors, nécessite la faculté de conscience pour en exploiter les différentes caractéristiques. L’erreur de la relativité générale et partant de la physique quantique, est de placer le formalisme mathématique au-dessus de la réalité naturelle telle que chacun l’expérimente quotidiennement, pour la décrire et saisir son fonctionnement. Il semble qu’il y ait une erreur de fond dans cette explication, car d’une part la gravité est un effet second à ce qui assure une première place à des effets de flux de torsion d’un éther fluide sur des masses, elles-mêmes composées par l’émergence d’une quantité d’espace-temps, sous l’effet d’une quantification d’une énergie seconde relative à l’existence d’un océan d’énergie expérimentant ses propres relations d’interactions. La physique quantique élabore sa mécanique à partir de la description d’un rayonnement d’un corps noir et en présuppose une quantité d’énergie équivalente à un quantum d’action qui se manifesterait sous forme quantifiée, parce que procédant par saut de niveaux énergétiques.
Mais dans une expérience commune, l’observation d’un comportement se fait par l’observation des effets de ce comportement qui fait information de ce même comportement. Que le rayonnement d’un corps noir apporte son information instantanément, ce que démontre l’observation d’une balance de torsion sous son effet, pour en mesurer sa réalité. Ce n’est pas le cas de l’influence d’un effet quantique de l’énergie électromagnétique qui elle est inversement proportionnelle au carré de la distance, ce qui laisse supposer des niveaux de seuil responsable de la quantification de cette énergie. D’autres par, la vitesse de transmission de l’information de ce comportement laisse penser que le vecteur de cette information soit la lumière car celle-ci comporte une vitesse limite qui explique le temps nécessaire à la réception de l’information.
Ceci nous indique, que logiquement la masse est tributaire d’un calcul énergétique interne qui en assure sa création, pendant que la relation de cette masse à son milieu est tributaire d’un comportement de cette masse qui satisfasse à l’apport d’une énergie qui vient de son espace de développement. Nous avons donc un espace dans lequel un temps naît par le différentiel de l’expérience d’une énergie à créer une matière et d’une énergie à donner comportement à cette matière. Ce n’est que secondairement à l’apport d’énergie venant d’un espace qu’une masse varie dans sa quantité d’énergie, ce qui induit une variation de gravité dans le rapport d’interaction entre deux objets de masse pesante. Ce n’est pas la gravité qui structure un objet mais le transfert d’une énergie mécanique d’un espace à une masse , la gravité instaure le maintien de la structure .
C’est ainsi que nous pouvons comprendre que l’espace-temps peut être la trame de l’univers, dont la plus petite quantité d’action gouverne un rapport d’espace-temps dont le quantum d’énergie a été défini quantum d’action. Celui-ci apporte l’explication du comportement de l’énergie, dès lors qu’une particule émerge d’une densité d’un vide rempli d’énergie, issu d’un propre champ de ce vide mécanique non électromagnétique, mais adoptant des propriétés électromagnétiques par le maintien de sa relation avec lui. Le détachement d’un moi psychologique qui pourrait être à l’oeuvre dans les affaires de notre vie. Notre approche de l’existence se fait au travers de l’expérience ressentie des rapports physiques, que nous qualifions comme tels, de nos organes des sens.
La réceptivité d’un moi psychologique se fait par le degré de réflexivité que nous pouvons donner, comme sujet, à la cause de ces expériences, qu’elles soient volontaires ou non. C’est comme si nous étions à la fois dans le monde et en dehors du monde, bref sauf à accepter que ce ce que nous sommes soit de l’ordre d’une ubiquité, nous ne pouvons pas expliquer la constatation de ce fait. Voyons comment nous pouvons comprendre cela. La superposition d’état doit être une question de point de vue, donc de relativité c’est-à-dire de changement de référentiel.
Lorsque nous parlons d’ubiquité, nous parlons d’incertitude fondamentale dans l’indécidabilité d’un choix entre faire partie du monde ou être en dehors du monde ou entre les deux. De la manière de poser la question se détermine l’inclination vers un coté de ce choix. Parce que nous le devons à la nature physique de nos rapports avec le monde, et que le premier de ces rapports se fait avec la masse d’un corps qui est soumise à l’influence des flux de torsions de l’éther fluide spatial . L’adoption d’une relativité absolue de point de vue ne relève pas d’une volonté individuelle, mais d’un libre choix induit par l’interprétation consciente de la réalité.
La position référentielle d’un point de vue, relève d’une levée d’entraves opérée par le subconscient, dans la reconnaissance d’un fonctionnement naturel autonome, à la portée d’une conscience d’un inconscient redécouvert. C’est ainsi que le fonctionnement humain intègre le Soi, par la liberté topologique d’être un centre disposé dans le monde, ou hors du monde, ou entre les mondes, mais jamais les deux ou les trois à la fois, mais somme toute dans la réalité.