Le domaine d’accessibilité à la conscience de l’être humain lui ouvre les portes d’un accompagnement d’une transformation corporelle opérée par l’activité génétique, elle-même issue d’une communication inconsciente de l’environnement spatial. L’activité génétique individuelle est directement impliquée dans l’expression du mode de vie individuelle. Dans le changement d’intérêt personnel qui est constaté chez la grande majorité des êtres humains, la dimension sociale cède le pas à la dimension naturelle parce que l’esprit personnel perçoit un changement de paradigme, non intégré par la conscience, découlant sur un mal-être ressenti dans l’ensemble de la personne. Pourquoi en est-il ainsi et quels sont les mécanismes en jeu dans cette incapacité personnelle à se transformer ? C’est ce dont nous allons discuter ici.
Il y a deux façons de constater le changement qui s’opère aujourd’hui. La première façon est de constituer un rejet de l’orientation d’un tout inégalitaire qui se caractérise en une conduite économique qui échappe largement aux individus, qu’elle soit incarnée par le personnel politique ou par le simple citoyen. L’économie s’appuie sur un système largement inféodé à la technologie informatique ce qui laisse très peu de monde aux commandes. Nous laisserons le lecteur approfondir, par une recherche d’informations appropriées, cette voie qui pour nous n’a aucun intérêt opératoire. Il n’empêche que l’inconfort individuel généré par ce fonctionnement, marque la conscience personnelle pour une nécessité de changement. Malheureusement, le comportement individuel est un leurre face à un comportement collectif, dont l’orientation est largement obscure au plus grand nombre, sauf à faire partie des rares initiés. Sur ce terrain une personne ne peut changer le monde, car la disproportion opératoire entre un acteur et le système est trop importante et les mots impuissants.
La deuxième façon s’appuie sur la capacité intelligible de chacun à concevoir la conscience du changement, pour ainsi permettre de statuer sur une attitude d’esprit plus éclairée pour chaque situation du quotidien. Que se passe-t-il au juste dans ce changement ? L’implication d’une vérité sur la nature, nous sommes chacun d’entres-nous des personnes vivantes soumises à des relations naturelles systémiques qui échappent au contrôle conscient de notre esprit. La « pierre angulaire » de la relation systémique, se trouve au cœur de nous-mêmes, dans la sensibilité physique d’une expression génétique à un environnement micro-physique de l’univers spatial, et plus particulièrement celui induit par le champ magnétique terrestre. Ne se pourrait-il pas que nous soyons plus fort que cette influence par l’opérationnalité d’un épigénétisme individuel ?
Oui et non, car le travail épigénétique fait par le cerveau pour se défaire des déterminismes inconscients, ne joue que sur les conditions de cette sensibilité génétique et non directement sur son expression. Mais en jouant sur ces conditions, l’esprit au travers des prises de conscience, permet à l’ADN de s’auto-corriger par les 70% « non-codants » de ses nucléotides sur les 30% codants nos structures et fonctionnements. Donc ce qui est du ressort de chacun relève de la façon dont nous prédisposons notre nature corporelle à une induction générée par le champ magnétique terrestre. Mais dans quel but ?
Dans un double but, le premier étant de donner pleine capacité d’expression à notre génome, le second à permettre la jonction de notre nature corporelle à l’environnement de l’espace physique, dans une connexion de notre ADN à la structure d’espace-temps universel.
Il existe un mécanisme en jeu dans le fond de l’espace micro-physique dans lequel nous baignons tous, quel que soit l’endroit où nous nous situons. Ce mécanisme est responsable de la constitution d’une communication infra-quantique entre l’environnement spatial et l’expression génétique individuelle. Si le champ magnétique terrestre est un champ qui ouvre à une source de production d’électrons physiques, alors il est fort probable que cette source anime la structure de l’ADN et permet une conduite d’expression modulée par le champ magnétique terrestre. Ce mécanisme est possible grâce à l’induction sur l’ADN d’une influence des forces de gravité, sous la forme de quanta de temps grâce à la modulation du champ magnétique terrestre. C’est la circulation profonde d’un fluide d’éther spatial véhiculant des quantités de gravité variables venant de l’environnement physique, et qui donne par le temps une information quantifiée de celui-ci. Cet espace-temps fondamental est la cause de l’expression de l’ADN sous forme de code structurel (formations gravitaires) et fonctionnel (informations temporelles) au sein des noyaux cellulaires. Seules les molécules de l’ADN en retranscrivent les effets par leurs fonctions codantes, alors que les autres n’y sont sensibles que par leurs constitutions (ce qui peut avoir des effets fonctionnels).
Simple hypothèse de travail ; il faut d’abord intégrer que l’environnement physique, dans son intégralité, est un large spectre ondulatoire, et si nous acceptons l’existence d’une variation de la gravité, constitue un espace-temps dont la relativité entre les termes est construite sur des relations d’échange de quantité de gravitation et de temps. Grâce au champ magnétique terrestre s’appliquant sur l’être vivant, une communication d’espace-temps qui forme l’environnement universel, s’établit via les atomes constitutifs des différentes structures corporelles. La réaction des molécules d’ADN étant spécifiques, car ce sont les seules qui ont pour fonction la duplication, constituent les éléments biologiques d’un ensemble qui se forme comme type particulier d’espace-temps. La transformation menant au vivant trouve ici son vecteur physique, quand est-il de son fonctionnement ?
Nous avons l’installation d’une transformation physiologique d’origine physique sous la forme d’une vie à venir, il ne reste plus qu’aux fonctions organiques d’en établir les modulations. C’est ainsi que l’univers, par le biais de la structure de son espace-temps, influe sur les êtres vivants en lui procurant les conditions d’une duplication fractale. La constitution et le fonctionnement de vie deviennent une animation conjointe sous l’impulsion d’un subconscient, créé au sein d’un corps nouvellement formé, dont le fonctionnement humain est le génotype de l’espèce humaine. Une conscience immanente se fait alors jour dans un fonctionnement de vie qui fait l’esprit d’une structure informationnelle nouvellement agrégée, par la découverte d’une séparation de l’être vivant avec son milieu, ce qui autorise un champ d’interactions comportementales.
Enfin, ce n’est qu’au sein d’une conscience immanente qu’une connaissance de soi peut émerger sans causes formelles, et ainsi satisfaire à une causalité par liberté. La connaissance de soi n’est pas physique, mais nécessite une réalité physique pour émerger, car elle est l’infusion d’un tout dans l’un, pour que celui-ci se réalise dans le tout.