Identité humaine


Tout ce qui à trait à l’identité dans la littérature scientifique relève de l’étude du socle génétique et il n’est pas question ici de vouloir intervenir directement sur le génome humain comme peut l’envisager la branche de la génétique appliquée. En effet celle-ci se trouve en but au problème d’éthique à savoir la problématique de ce que l’on peut faire et de ce que l’on ne peut pas faire, en l’occurrence de l’eugénisme. Qu’elle fait partie comme tous les phénomènes d’un commerce de communication par informations, en tout premier lieu de ses semblables. Cela sous tends une qualité de structuration, comme une qualité de fonctionnement, de ce qui sera intégré sous la forme de co-naissances, et naturellement toute identité ira tendre vers une réalité dans le monde manifesté, comme une transformation constante et dynamique à partir de ses échanges avec d’autres identités d’une même espèce.

Ce processus finit par réaliser une cohérence génétique dans la formation d’une psychologie évolutionnaire, d’une race racine. L’humain à un environnement qui, a des degrés différents de modes d’existences, est peuplé d’êtres eux aussi en évolutions. Ce processus se fait par ouverture de communication aux informations non transmises mais ressenties, issues d’expériences humaines de soi. Une conscience individualisée et centrée peut donc offrir à l’être des possibilités issues d’une intelligence apparemment infinie, à partir du jeu phénoménal de l’existence.

L’identité examinée dans son ensemble représente un principe potentiel de manifestations constructives issues d’une intelligence qui communique par le fait d’être réelle et dont la forme humaine n’en est qu’une des entrées conscientes.