Le pouvoir de l’être est de mettre à jour un esprit individué par l’intermédiaire d’une conscience individualisée et centrée. C’est l’irruption du réel humain qui se fait être par sa personne dans la connaissance d’elle-même. La composante active de cette information sert de stimulant au système nerveux pour établir des régulations systémiques qui à leurs tours contraignent le milieu interstitiel et bousculent le rapport d’échanges des cellules avec leurs milieu. Cette transformation fonctionnelle des cellules donne la possibilité à leurs ADN respectifs de se conformer plus étroitement à leurs fonctionnements, ce qui provoque une renormalisation de leurs structures atomiques par induction chimio-électrique de leurs structures.

Il s’agit de postuler au plus près des prérogatives fonctionnelles des structures codantes de l’ADN cellulaire et ceci afin de laisser des singularités élémentaires de matières faire leurs offices de transducteur de propriétés naturelles. La foi donne aux consciences partielles la possibilité de relier la personne humaine à son esprit pour réaliser son individuation. En ouvrant ponctuellement ou factuellement les conditions d’une conscience de la conscience, amorce d’un processus savant de réalisation d’un humain dans son être par sa cognition. L’être se sert de la foi car la foi est l’artisan du réel mais n’a aucun pouvoir de réalisation.