Cette conscience s’octroie donc le pouvoir d’existence des phénomènes par la naissance d’une tension à l’origine d’une dualité de charge . Elles relatent un vécu historique de la personne, au travers de la mobilisation des souvenirs par un effet de reconstruction de mémoire. L’utilisation du micro-mouvement par le corps est donc une mobilisation affective de ce qui fait mémoire et donc conçoit une réalité relative individuelle. Toutes les manifestations de structure sont affaires de pression de l’environnement, jusqu’à la sortie de ce schéma de réaction par l’autonomie que réalise l’invisibilité à l’environnement, par modulation du rapport d’existence qui fait dépendre de lui-même ce qui auparavant dépendait d’un environnement.
La volonté individuelle veut se superposer à la vie, ce constat vient de la nécessité de la réalisation d’un idéal. Un chemin de connaissance de l’esprit du monde, passe par la reconnaissance des représentations d’une mémoire d’événements, pour donner la signification au terme d’univers et rendre intérieur ce qui en apparence relève d’une extériorité individuelle. En effet l’égo ne fait ainsi que pérenniser des fausses croyances, qui inéluctablement induisent des jugements personnels. La fonction de mobilité du complexe osseux crânio-facial à donc la charge, par son maintien de mobilité, de produire l’information de soi, grâce à une homéostasie fonctionnelle préservée, d’un déséquilibre émotionnel dû à une trop grande variation de l’activité neuro-musculaire .
Il faut introduire la notion de genèse des informations pour en comprendre leurs rôles dans le phénomène de quantification de la conscience. Par l’activité du système nerveux à l’intérieur d’une variation homéostasique rendue possible par l’équilibre de la fonction crânienne, l’esprit libère une énergie émotionnelle positive qui nourrit un changement, via l’holodynamie du milieu cellulaire, par la réaction des cellules qui entraîne l’expression génétique dans une nouvelle constitution organo-physique. Ce nouveau profil génétique, tend à correspondre à la réalité mentale de la nouvelle intelligibilité du monde, recherchée par le désir de connaissance. La conscience est alors à même de quantifier l’espace-temps humain, par une relation de relativité absolue entre les figures d’espace et les figures de temps.
Les propriétés de ces particules sont d’être sensible aux faibles gravités et à la force électrofaible et qu’au demeurant cette interaction puisse être à l’origine des photons, donneraient des propriétés physiques compatibles pour un stockage d’image d’événements se passant dans le domaine matériel. Nous aurions alors affaire à la constitution d’un média universel pour l’esprit, lui permettant de confronter sa mémoire à son essence d’origine.