Être humain devient une considération effective de vivre une conviction par la qualité des actions à se connaître soi-même, pour reconnaître l’environnement d’une évolution. Ce comportement harmonique d’un processus, comporte en son sein la possibilité d’erreurs qui peuvent être la source de dysharmonies pathologiques. Elles impliquent le recours aux fréquences de l’expression génétique ce qui assure à la volonté psychique, la possibilité de réunir des facultés immatérielles aux capacités physiques de réalisation spatio-temporelle de l’esprit conscient. Rien ne nous empêche à ce niveau de faire un parallèle entre l’existence des mèmes et l’existence des gènes même si la correspondance réelle semble aléatoire, par de récentes études sur le rapport de complexité avec le nombre de gènes .
En effet il pourrait y avoir différents domaines qui correspondraient à différentes espèces. Le sens est inhérent à l’existence individuelle, et c’est le fondement de la responsabilité individuelle que de se doter des moyens de réaliser une vie. L’application de ce protocole nous fait choisir un environnement plutôt que de le subir d’où l’esprit de conquête. Le réel ne serait que la possibilité de représenter et de matérialiser cette intersection par des informations contradictoires qui feraient le noyau de la perception consciente d’un espace-temps universel.
C’est ainsi qu’il nous faudrait peut-être nous dessaisir de tout, pour être ce par quoi nous saisissons par conscience. Alors dans cette émanation que chacun de nous représente, peut se refléter cette puissance naturelle qui devient clairvoyante par la conscience d’un esprit en conquête de soi. Nous serions donc cet être ambivalent, réel par inconscience et non-réel par conscience et cela à chaque instant de notre vie.