La perception est au centre des prises de conscience nous permettant de faire évoluer nos croyances dans la réalité que nous percevons avec nos sens. Ce principe ou transcription d’une âme individuelle, représente le noyau de la personne accessible par la seule force de l’esprit à prendre conscience d’une réalité vraie. La perception psychologique serait le moyen pour le corps, de formaliser l’espace en fonction d’un temps de conscience par la gestion de l’énergie chimique qui permette de produire un univers psychique par l’imaginaire. L’information représente alors une quantité d’espace décelable par la perception, au profit d’une évolution de conscience en individuation, dont l’énergie serait issue d’un ADN cellulaire libéré pour satisfaire à la demande organique d’adaptation.
L’impact des dimensions de l’univers sous la forme d’ondes gravitationnelles, quantiquement modifiées, seraient de pouvoir être reconnu par le senseur physique de l’ADN cellulaire, sous l’égide d’une perception psychologique dont le rôle en serait de tirer des informations conscientes pour l’organisation spatiale d’un corps . Ce faisant l’ensemble de cette opération rends compte d’une multidimensionnalité universelle transmise dans un être multidimensionnel, dont le chef d’orchestre se trouve être le cerveau, et dont l’architecture fonctionnelle s’établit sous le principe de la proportion idéale , telle qu’elle peut être décrite par le nombre d’or. Il semble que l’architecture du cerveau soit faite pour croire, ce qui semble expliquer pourquoi la multidimensionnalité soit au cœur du mécanisme de conscience. Dans ce qui vient d’être énoncé il faut constater que la robustesse de l’être humain est due au rapport d’équilibre conscient avec la multidimensionnalité, soit un rapport d’espace temps qui doit se maintenir dans le principe d’une relativité absolue qui octroie à la conscience une quantité d’espace inversement proportionnelle à une quantité de temps de perception.
Le réel pourrait donc être exclusivement d’origine psychique, en effet les choix des valeurs à l’origine des comportements individuels peuvent être quantifiées et donc représentées sous la forme de médias structurels. Cet éclaircissement peut-être donné par les concepts de matière et d’antimatière , dont la réaction mesurée est à l’origine d’une énergie mentale qui nourrit les frontières de la conscience par la création d’informations quantifiant cette énergie. Cela pourrait être à l’origine de l’émergence d’un battement cardiaque dont le rythme serait calé sur la manifestation des échanges dimensionnels. L’hyperespace est la formule adoptée par une conscience pour générer par le temps discret une adéquation avec l’environnement dimensionnel suite à une évolution de conscience.
C’est donc ainsi que nous pouvons qualifier l’esprit de conquête supporté par la vie d’échanges relationnels. L’esprit est donc bien un média du rapport de la conscience individuelle sur l’inconscience universelle par sa capacité à faire information des perceptions. Guérir c’est redevenir être humain et s’ouvrir à l’individualité des rapports aux différents mondes physiques qui composent la réalité universelle. La connaissance de ce rapport individuel, permet la maîtrise de la quantification en donnant un instrument de mesure que nous allons pouvoir appliquer dans la construction intime de l’espace et du temps, ce qui nous donne la possibilité et le moyen d’investiguer la réalité universelle.
C’est donc ainsi l’avènement du pouvoir de la conscience à donner à l’esprit la possibilité de rendre intelligible les réalités de soi et de l’environnement. Toutes les conditions sont donc requises pour restaurer le principe personnel comme moteur du devenir individuel et ainsi opérer la synchronicité avec le présent, référentiel de la dimension du vécu .