Le fonctionnement du corps humain peut se définir comme l’incarnation d’un esprit neuf affranchit du déterminisme génétique et donnant lieu à un corps neuf. Ce style s’applique sur un fonctionnement, il en est sa marque, donc il est normal de pouvoir constater que dans tous les rapports aux choses, il y a un fonctionnement d’un corps humain derrière. Il y a donc une façon de faire les choses qui ne dépende pas des choses elles-mêmes. Pour l’acteur il va suffire de montrer un non-attachement aux choses elles-mêmes.
Si nous continuons dans cette voie, pour chacun de nous, la nécessité d’avoir un degré de conscience correspondant à une présence d’esprit du moment est la condition requise pour être dans une découverte constante d’un soi plus vaste. Cette découverte constante d’un grand soi-même nous laisse entrevoir que nous avons affaire à chaque instant, à la conjonction d’une partie de soi avec une partie de notre environnement. Nous pourrons alors parler de maturité perceptive, en tous les cas, d’une progression vers plus de perception. La façon de faire les choses qui ne dépende pas des choses elles-mêmes, ne permet de tenir compte que d’un seul aspect des choses à la fois, ce qui en découle est une prise de conscience de l’interdépendance des phénomènes.
La seule possibilité théorique qui puisse expliquer ce processus cognitif soit que l’état du temps soit discret, c’est-à-dire qu’à chaque apparition en conscience, se manifeste une certaine quantité de temps par rapport au temps de référence celui dans le vécu obtenu par la 4D, dimension fixée par les sens naturels . Nous avons déjà vu que la quantité discrète du temps se conjugue parfaitement avec les quantités discrètes d’espace pour établir une fonction de relativité absolue. N’oublions pas qu’à un esprit neuf doit correspondre un corps neuf, et que la relativité absolue ne fait que proposer une interprétation de la réalité observable d’un corps physique en comportement de conscience, donc en fonctionnement. Revenons à notre explication du fonctionnement du corps humain, le rapport entre les différentes choses, dont la décohérence par les aspects de ces choses , ne peut se réaliser que par l’implication d’une autonomie pour chacune de ces choses.
L’éclatement de rapports dont il faut maintenir les relations par une identification à un tout qui est ici le soi psychologique en donnant lieu à des informations. Déjà à ce stade nous pouvons percevoir des similitudes entre les composants anatomiques du corps humain et les différents éléments du process du fonctionnement du corps humain. C’est le rôle du système nerveux autonome , que de garantir cet équilibre nécessaire à la réalité du déséquilibre provoqué par l’acquisition d’informations . De ceci il découle que le fonctionnement du corps humain est la sommation d’une expérience de vie individuelle, qui commence dès la fécondation .
Il n’est pas étonnant de penser que certains scientifiques envisagent que la constitution vivante soit architecturée par la lumière, ce qui peut expliquer l’attrait de la lumière pour l’expansion de vie et de conscience.