Du néant à l’être, la vie comme un fonctionnement humain

Cet article s’appuie sur des connaissances réelles, mais dont les voies de recherche n’ont pas été privilégiées par la communauté scientifique. Pourtant un nombre important de chercheurs ont établi les lois et les expériences qui tendent à démontrer que ces voies sont plus pertinentes et prometteuses, que celles qu’ont choisi la majorité des scientifiques. Ici il c’est agit d’ébaucher ce que pourrait être une voie plus féconde de la démontrabilité d’un fonctionnement humain, et in fine de s’apercevoir que la connaissance est secondaire au savoir conscient. Seul un savoir jalonné de prises de conscience personnelles apporte une validité pour chacun, d’un chemin vers le réel.

Il s’agit ici d’envisager la mécanique de l’espace-temps (un événement pour un temps donné), au travers de l’explication de la théorie des champs de torsion du vide physique (énergie ou action mécanique résultant de l’interaction d’objet en mouvement dans l’éther spatial). Cette interaction primaire peut être le milieu de naissance d’un vide rempli d’énergie électromagnétique devenant source d’une vie humaine sous la forme d’un corps à l’esprit personnel. Nous sommes face à un processus qui va d’une énergie électromagnétique à la matière puis de la matière à une énergie mécanique, dans un mouvement perpétuel en spiral (d’où la forme en vortex dans le champ de torsion. Ce mouvement en spiral se retrouve dans l’ensemble des organisations du vivant (ADN, coquille, tissus, cerveau, végétaux, mais aussi cyclone, cours d’eau, etc), en faisant joindre des comportements qui vont du domaine du microscopique vers le domaine macroscopique.

Les conditions locales de la perception d’une réalité, intègre la mesure du temps comme principe de connaissance des espaces constitutif, qui permettent l’autonomie d’une personne par son corps et son esprit de conscience. Il est impossible d’abandonner la causalité, comme le fait la physique quantique au travers de l’acceptation d’un hasard dans les choix d’organisation des différentes matières, parce que la matière est un dérivé d’une interprétation psychique. Notre postulat est qu’il existe une cause déterminée dont l’issue de son effet est locale. Cette cause anime ce qui devient un schéma directeur fonctionnel, en prenant la forme d’un chemin de cause à effet gouverné par des prises de conscience. Cette qualité de développement est responsable d’une intégrité psychique retrouvée dans le degré de complexité apparente des êtres en vies. Le choix de l’établissement d’une continuité, entre le monde microscopique et le monde macroscopique est à l’origine des possibilités d’une ressource, toujours envisageable par un être humain conscient. D’autre part, la seule acceptation de cette vue, légitimise la conscience comme opérateur de temps dans l’organisation d’une vie humaine, et de discrétisation de l’espace qui en fera les conditions de sa reconnaissance.

La réalisation et le fonctionnement de l’être en puissance, se font par le développement de la représentation psychique de l’Homme. Cela aboutit à ouvrir l’espace et le temps par la pensée constructive d’une réalité. C’est parce que l’esprit croit qu’un sentiment l’affecte, que notre esprit s’éveille. La croyance est une passion qui ne devient effet de seuil que dans l’acte, ce qui devient quantifié est alors un potentiel d’action. Qui déclenche ce potentiel ? Ce à quoi l’on croit dans la nature physique. Qui en est affecté ? Nos représentations psychiques. Mais de quoi la réalité est-elle la représentation ? De ce que nous savons de l’existence de Soi (bon ou mauvais, vrai ou faux). Alors quel est le mécanisme dont le résultat est la critique de cette connaissance de Soi ? Les prises de conscience. Donc nous pouvons nous demander de qui tient-on cette possibilité de connaissance de Soi ? D’une réaction de l’identité reconnue par nos prises de conscience face à un milieu. Plus la représentation est universelle, plus la réaction de notre identité devient universelle. Plus la connaissance de Soi est oeuvre universelle, plus le Soi est logiquement universel. Mais plus la connaissance devient universelle, moins le sentiment d’appartenance concerne notre personne pour s’investir dans une forme psychique de réalité. Enfin moins nous sommes dans l’individuation personnelle et plus celle-ci incarne un esprit universel, ce qui confère au Soi l’intégrité de son identité.

Lorsque nous situons la vie humaine entre le néant et l’être, nous procédons à l’avènement d’une énergie-matière devenant conscience d’elle-même. Il nous faut donc situer un centre à ce qui en est une personne. Cela va être logiquement une conscience émergeant d’une inconscience. Cette inconscience représente donc le domaine où peut régner le développement d’un Soi par la conscience. L’organisation de ce processus va dépendre d’une constitution faite d’une gestion d’espace-temps (en fait la constitution d’un savoir) qui en fait la texture psychique. Ce domaine d’espace-temps relève de la nature d’un esprit tout entier contenu dans le rapport que va entretenir le temps avec l’espace et inversement de l’espace vers le temps. Nous allons donc avoir dans ce domaine, une conscience qui s’expend aux dépens d’un domaine d’inconscience, ce qui permet de conclure à l’existence d’un esprit personnel, sachant que celui-ci recèle la conscience comme le corps recèle l’inconscience.

Si de l’interaction avec le néant émergent des événements sous la forme de prise de conscience sur un milieu d’inconscience, alors il va nous falloir définir son média informationnel. Dans l’ensemble de la connaissance de la physique naturelle, nous avons l’interprétation d’un vide fondamental que l’on dira primaire, qui est un espace animé d’un type de comportement énergétique particulier, qui n’est pas une énergie électromagnétique mais une énergie mécanique : les champs de torsion. Ces champs de torsion sont en deçà d’un vide secondaire qui est le vide électromagnétique dont la manifestation se trouve être dans des fluctuations quantiques à la source d’une émergence de particules réelles et virtuelles. Seuls les champs de torsion permettent d’expliquer le passage d’une action causale, entre le monde microscopique et le monde macroscopique, pourquoi ? Parce qu’il médiatise des actions qui font conscience comme relais d’accessibilité d’un esprit à des événements de son milieu d’existence par la nature de leur influence sur la masse. Pour la manifestation de l’infra-quantique et du quantique dans l’orchestration énergétique qui fait matière d’un corps, nous aurons respectivement la médiatisation d’une conception relativisée par un contexte d’une part, et d’autre part la probabilité de présence des entités à l’origine de comportements spécifiques. Cela nous amène donc à penser que le corps physique puisse être un objet quantique d’énergie-matière de nature psychique.

Il nous faut rentrer plus en détail dans le concept d’énergie-matière qui peut faire corps physique. Le corps est à tout instant une composition émanant d’une gouvernance psychique d’une identité. C’est ici qu’intervient la dimension d’espace-temps d’une réalité, voyons comment. La conscience universelle ou conscience immanente relève d’une médiatisation par les champs de torsion de l’espace, d’informations des objets en mouvement dans cet espace. C’est une action instantanée qui fonde en chaque objet de l’espace, une qualité les reliant à un temps et à un espace comme des coordonnées d’existence, la causalité apporte un principe d’organisation dans une relativité absolue des mouvements des différents objets, ce qui détermine des effets d’organisation, par un rapport qui s’installe entre des fractions d’un temps et des fractions d’espace qui permettent de composer une réalité.

L’objet n’est jamais parfaitement indépendant énergétiquement car il s’installe toujours dans une fraction de temps et une fraction d’espace qui le relie à d’autres objets, c’est pour cela que le rapport d’espace-temps installe une relativité absolue. Aucun objet ne peut réellement se concevoir totalement indépendant, donc aucun objet n’est clos sur lui-même et c’est ce qui amène à penser que la matière n’a aucune existence en soi, elle n’est qu’un produit d’un fonctionnement, dont la matrice est une réalité que se donne un psychisme par sa représentation. C’est ainsi que la réalité individuelle, se trouve être à la source de toutes les fonctions personnelles qui engagent une prise de conscience, sur une totalité d’inconscience, et forme le réel d’un esprit et d’un corps. C’est ainsi que naît une personne du néant par la vie humaine qui se conçoit par conscience.
La cause à effet est le système logique d’où une organisation extraie de l’expansion de conscience, qui tire sa puissance de la jonction d’un univers primaire avec un univers macroscopique.

Nous avons vu que le champ de torsion est la médiatisation des informations d’une configuration de masse, qui fonde une influence sur chacun des objets de l’univers, psychisme personnel compris. La connaissance qui en découle aide à forger un savoir conscient du rapport particulier entre l’espace et le temps constitutif d’une personne, qui assure à l’esprit la possibilité de concevoir un devenir par la projection d’une réalité individuelle sous la forme d’un corps physique bien réel car assumant par sa matérialité l’issue d’une cause primaire dans son environnement de connaissance. Par la médiatisation du microscopique au macroscopique, il y a passage du néant à la matière, c’est l’objectivation par déterminisme primaire.

Dès le néant, l’être en son esprit, apparaît sous la forme d’un mouvement de spin (un mouvement angulaire des particules élémentaires), porteur potentiel d’informations corrélées du champ secondaire des fluctuations du vide électromagnétique et des actes du champ de torsion du vide physique. Cela assure la trame d’une conception de la matière sous l’influence de son propre poids via l’implication de la gravité variable, et de sa masse via l’implication du champ de torsion de l’espace. Dans ce vide secondaire électromagnétique, l’information se trouve être corrélée aux événements sous-jacents, que combinent les champs de torsion et les fluctuations du vide quantique. Ce qui se calcule sont les masses atomiques, qui sont effectivement variables en fonction du type de comportements des matières qui sont formées et de leurs influences par les champs de torsion. Le poids de chaque matière est lui aussi variable en fonction du lieu d’exposition de ces comportements.

Ce qui est infra-quantique inscrit des règles de contextualisation quant à l’orchestration de ces matières, ce qui fait de la quantification de l’énergie (le temps) un média d’organisation de ces mêmes matières dans des espaces. Nous tenons ici le schéma directeur fonctionnel qui amène à la composition d’une réalité, dont le pouvoir polymorphique mime au plus prés la réalité d’un univers classique. La conquête par l’esprit d’une conscience immanente, se passe donc ouvertement par l’exercice d’un fonctionnement humain à comprendre la nature intrinsèque de ce qui nous est inconscient. Ce que nous découvrons alors, est que l’ensemble de notre connaissance est une addition de métaphores, que notre psychisme perce à jour, par une conscience éclairante du néant.