Nous avons esquissé dans un précédent article le référentiel espace-temps de l’esprit, nous allons voir maintenant que de cet espace-temps naît l’idée fondamentale que le corps dans son intégralité est bien une idée venant de l’esprit du monde au travers de la gestion d’une énergie primordiale qui s’individualise. Nous avons ici l’exemple d’un moteur de vie dont l’inconscience de l’esprit à faire conscience d’un objet , ce qui permet de créer l’énergie d’une intelligibilité du monde. La conséquence d’une réalité physique constituant un archétype humain résulte de la conjonction mémorielle d’une expression physique de l’ADN nucléaire créateur d’informations spatiales avec l’ADN mitochondrial créateur d’informations temporelles , l’ensemble se retrouve dans chaque cellule organique. Cet archétype se construit autour d’une singularité consciente induite par l’environnement dans lequel prend naissance la futur personne humaine .
C’est donc à la conscience personnelle que revient le rôle de la constitution de sens donnant pouvoir aux cellules de constituer l’archétype humain à l’origine d’une psychologie de l’information. C’est en ce sens que le corps devient une bibliothèque mémorielle des phénomènes naturels aux travers des données qu’il exprime, et le corps physique en constitue la manifestation fonctionnelle. Elle a comme représentation physique, une mer constituée de fluctuation d’énergie par la création spontanée de particules virtuelles, dont l’esprit du monde peut se servir à condition de lui donner une forme quantifiable. C’est comme cela que des informations nécessaires à la formation des personnes trouvent leurs causes de réalité, par la quantification énergétique qui permet à une virtualité de se concrétiser matériellement.
Le corps est cette matière première inconsciente et mémorielle, constitué d’autant d’informations potentielles que l’esprit peut en découvrir par ses prises de conscience. La psychologie d’information est donc une psychologie de composition à partir d’informations traitées et ordonnées sous l’égide d’un esprit intelligible, qui se sert du phénomène conscient pour assembler en omniscience une connaissance personnelle . C’est ainsi que nous découvrons le phénomène d’existence qui donne un sentiment d’origine à la personne, sans savoir si elle est consciente ou inconsciente d’une situation vécue. Cela libère la réalité d’une identité personnelle comme sujet de vie, et permet au jeu subconscient d’utiliser les différents niveaux fonctionnels d’un corps pour permettre à l’esprit de composer une intégrité humaine dans une psychologie d’information.
C’est ainsi que naît une gouvernance de l’énergie universelle qui va nourrir un esprit en quantifiant ses prises de conscience. L’information, dont la conscience à besoin pour établir ses raisons d’être sont ces quantifications et servent aux comportements séculiers. Les prises de conscience ne sont que des mesures de temps donné, qualifiant un espace de propriétés fonctionnelles qui vont assurer la possibilité à un corps physique de se constituer par une organisation de phénomènes. C’est de cette constitution mémorielle, je rappelle que la constitution mémorielle est faite d’une accumulation ordonnée et cohérente de mèmes, qu’un esprit prend conscience d’une réalité temporaire.
Enfin c’est par l’usage inconscient de ce schéma directeur fonctionnel que la conscience peut advenir dans la personne et avoir ainsi une conscience d’être au monde, grâce à l’application d’un esprit en quête de connaissances. Parce-que ce qui représente le sujet et fabrique son identité personnelle est en fait un hologramme de données dont l’ensemble des informations en représente des sous-produits techniquement, nous sommes capable de fabriquer des hologrammes pleins 4D . Nous sommes en présence d’une psychologie secondaire qui s’accorde à un esprit par le biais d’une énergie universelle parfaitement maîtrisée sous la forme d’un corps physique constitutionnalisé mais dont le véritable opérateur est une conscience individuelle d’une conscience personnelle, soit une conscience transpersonnelle. Il fallait donc décrire comment la finalité de l’esprit est de permettre l’avènement d’une psychologie transpersonnelle dont l’opérateur soit une conscience individuelle qui rend compte du modèle d’être humain.