La psychologie évolutionnaire


Le processus générant l’acquisition des nouvelles informations servant de vecteur de réorganisation de l’impermanence est biologiquement matérialisé par le neuro-génétisme cérébral. C’est l’interaction dans le cadre d’une vie en pleine santé qui va définir les limites physiques et psychologiques d’une vie individuelle. Cela se fait juste en regard des aptitudes structurelles de la société envers sa transformation et de l’acceptation des Hommes à remplir les capacités fonctionnelles personnelles. Par ce qu’elle correspond à la croyance commune d’une stabilité dans le temps, qui lui confère la légitimité à endosser le rôle de substrat de la vie individuelle.

Pour répondre à cette interrogation il faut nous pencher sur le fonctionnement des sciences. Le socle de du savoir contemporain sur trouve sur les connaissances des propriétés naturelles des phénomènes physiques. Mais ce que relève notre observation des phénomènes, est que leurs traductions théoriques se font de plus en plus vers l’émergence de lois fondamentales qui deviennent universelles, par le fait de retrouver des régularités au plus profond de chaque phénomène étudié. Venons-en à la psychologie évolutionnaire, considérons ce que nous pourrions appeler le processus de matérialisation.

Première indication, le phénomène apparaît dans le temps si l’on tient compte du statut de l’observateur à agir dans l’intention de connaitre ce avec quoi il interagit. Deuxième indication il existe une dynamique dans l’interaction qui traduit les conditions d’observation qui sont de formes psychologiques et de formes physiques . Cinquième indication, la fréquence vibratoire va définir le plan de manifestation du phénomène, sous une forme qui va du matérielle au virtuelle en passant par l’immatérielle. Sixième indication, tout phénomène étudié renvoie aux cadres de sa production de propriétés physiques dans l’univers sous la forme de lois fondamentales, qui on l’a vu se déclinent comme autant de régularités se manifestant dans les prémisses du tout global en chacun des phénomènes.

Ce processus est autonome à condition de dégager à chaque instanciation du présent une qualité de conscience qui fonde l’acteur dans ses expériences humaines. Ce détachement d’identification force l’identité individuelle à s’adapter en conséquence, ce qui fait de la constitution psychique le véritable moteur de la vie individuelle, au travers d’une conscience croissante dans les expériences humaines.