D’après une expérience récente, les scientifiques ont constaté que le cerveau humain produit un milliard de photons à la seconde, de quoi inférer une communication optique au sein du fonctionnement cérébral qui ne l’oublions pas est l’opérateur de l’esprit. S’il y a communication optique alors les biophotons peuvent être affectés par l’intrication quantique, donc une communication d’informations sans transmission, en clair une compréhension mutuelle. Sachant que chaque cellule de l’organisme produit aussi des biophotons et que le corps dans son ensemble est irrigué par cet océan de biophotons organiques, il est donc possible de voir un potentiel d’unité individuelle. L’univers visible baigne lui aussi dans un océan de photons ce qui pose le problème de la différenciation d’êtres par individuation.

Les actions de l’esprit induisent l’organisme et plus fondamentalement la matière, à faire corps physique. Il s’agit de déterminer ce qui fait indépendance d’esprit et ce qui fait autonomie de corps. Cela veut dire que l’esprit peut se différencier du corps et que le corps peut être en vie d’une manière autonome au sein d’un environnement. L’esprit peut se développer par l’utilisation d’une mémoire ce qui le rend indépendant et créateur de réel.

Il faut envisager le niveau d’activité des biophotons comme faisant un système de communication d’informations quasi instantané à l’échelle d’un corps. « Elles modifient l’état énergétique des atomes, état qui se transmet à d’autres atomes, ce qui induit des émissions électromagnétiques. » Une personne doit aller au-delà des idées intelligibles qu’elle se fait des choses et du monde. L’existence du phénomène permet à la vie de se constituer en architecture fonctionnelle d’un ensemble par l’utilisation intelligente du rapport de la matière avec ses propriétés énergétiques pour des comportements biologiques.

Ces informations apparaissent et peuvent apporter la possibilité de dimensions temporelles issues de nouveaux espaces conscients.