Quels sont les mécanismes à l’oeuvre et comment cela parvient-il à se manifester ? Dans ces moments, la conscience n’est plus sensorielle, mais induite par le fonctionnement de cette intelligence, comment cela est-il possible ? A quoi cela fait-il référence, s’agit-il d’un autre monde de la conscience ? Cela à-t-il un rapport avec le fonctionnement humain ? Autant de questions interpellent ! il nous faut donc tenter d’y répondre explicitement. Usuellement ce qui est de nature impersonnelle est de l’ordre d’une raison ou d’un comportement et ils ont trait à des actions sans rapports à la personne ou dans des lieux particuliers, comme il est dit d’un aménagement qu’il est impersonnel, quand il est neutre et sans marques personnelles. Se pencher sur la nature de l’activité scientifique peut nous apporter une réponse. Ce que nous pouvons en retenir est le caractère universel, logique et objectif de la science, une cohérence désincarnée et déshumanisée.
En face nous voyons l’ennemi, en principe un ordinateur pourrait très bien émuler ce processus par implémentation d’un algorithme de choix dont la production de conscience n’est qu’affaire de multidimensionnalité d’algorithmes parallèles, travaillant à des fréquences différentes, dans la reproduction des comportements qui ouvrent la machine à un pouvoir de transcendance de ses propres activités de calcul. Cette simple expérience de pensée nous fait voir l’intérêt stratégique de la manipulation de l’espace-temps dans la compréhension de l’évolution personnelle. Trouver ainsi l’explication d’un fonctionnement humain qui puisse hisser un être dans une intelligence impersonnelle sans qu’elle y perde son âme, c’est-à-dire la conscience de ses origines. Comme les choses ne sont jamais véritablement simples, il nous faut comprendre, qu’en premier lieu, la matière physique ne doit son existence qu’à la force électrostatique , qui est le produit d’un accord de résonance des atomes pour faire matière, et non à la force électromagnétique ou aux effets gravitationnels.
Nous devons accepter que les objets matériels ne se fassent pas autrement que par la force de cohésion électrostatique d’où naîtra des effets gravitationnels. La possibilité de formation matérielle d’un être est dépendante d’un contexte, organisé par une gravité variable, relative par sa co-existence d’autres types d’environnements autour de lui. Fabriquer l’être humain c’est pouvoir délivrer une conscience de cet être. La découverte de l’intelligence impersonnelle par la personne est le point de départ de la conscience d’une énergie autonome, qui anime son esprit à faire de ses connaissances, les premières traces de son être.
C’est ici qu’il faut réinvestir la compréhension du mécanisme d’espace-temps. Pour bien comprendre en profondeur la réalité des dimensions, il faut admettre la dimension de référence comme étant le présent donné par l’expérience du vécu. C’est pour cela que les dimensions sont des fréquences vibratoires, car ces fréquences concernent la fréquence d’oscillation d’un corps physique, soumis à la cohésion résonnante de ses parties par la pression électrostatique de l’ensemble qui le fait être matière objective. L’instant est alors l’élément discret de l’esprit, il correspond à la conscience du moment de l’expérience.
C’est ainsi que le développement personnel ne doit exclusivement s’entendre que comme développement de conscience, celle qui nous fait explorer les dimensions physiques. La vie à son point d’orgue dans l’esprit, ce qui donne l’espace à la matière. Celle-ci peut donc à son tour, être manipulée par l’esprit pour en faire des corps de vie donnant la possibilité d’exploration du temps universel.