L’interaction avec soi-même permet la reconnaissance de notre identité universelle

Pour répondre à cette question il faut nous poser la question sur le support réel de l’identité. Classiquement l’identité est portée par l’ADN d’un génome héréditairement transmis par des géniteurs. Le deuxième, est l’environnement que construit notre psychisme au fil du développement de notre personne. Le troisième, est l’environnement existentiel sous la forme des couches profondes de la réalité, qui nous l’avons vu est constituée de deux couches différentes.

N’oublions pas que l’ensemble de ces quatre types d’espace-temps se situe dans une même dimension, les trois dimensions spatiales de l’existence vécue dans la réalité commune et ce sont elles qui vont nous servir de valeur de référence spatiale. Ces trois dimensions sont fixées dans une réalité due à notre interaction avec la planète Terre, sous l’influence variable de la gravité terrestre. Nous avons déjà vu que le temps à en fait trois dimensions et non une seule . L’opérateur du passé s’incarne dans des quantifications énergétiques des images du passé , car les informations de ce passé sont limitées par la vitesse de la lumière .

La différence entre le passé et le futur est donc une différence de temps, limité par la vitesse de la lumière pour le passé et d’une absence de temps pour le futur. Par un ajustement métabolique et c’est pour cela qu’un ADN préexiste au système organique par hérédité, car c’est lui qui va être mis en mouvement par la variation de masse des structures biologiques. Pour l’action du champ de torsion sur la masse corporelle, nous aurons un effet rétroactif de la gravité sur la structuration organique qui fera dépendre le corps physique du lieu où il se trouve. Cette combinatoire va nous donner la hiérarchie des différents niveaux d’organisation d’un corps à la mesure d’une durée comme écoulement du temps de vie, d’une élasticité comme polymorphisme du temps de cette vie, d’un présent se constituant comme l’équilibre du rapport d’un espace corporel avec son milieu de vie.

Ces quatre environnements interviennent de concert mais avec une variation en pourcentage, en fonction du rapport d’espace-temps corporel concerné par un type d’environnement. Ce qui va déterminer le rapport d’espace-temps dans une situation donnée, est le présent fondateur de la prise de conscience. Nous voyons que le corps reflète l’exact milieu de l’ensemble des paramètres de la réalité, excepté la conscience. Il ne reste plus pour l’esprit, qu’a prendre en considération la connaissance de Soi, pour adosser au présent de l’espace corporel, une conscience psycho-organique, dissociant celle-ci du néant.

Il est donc clair que ce schéma directeur fonctionnel est l’oeuvre d’un esprit, dont le média d’existence ne peut être autre que le corps d’un fonctionnement humain.