L’unité cerveau-génome humain


Pour la fonction cognitive, la conscience psychologique s’associe avec la conscience vitale pour former une conscience active individualisée et centrée en l’être. Le langage sous la forme du savoir constitue l’architecture dynamique d’une pratique du réel nouvellement manifesté par l’utilisation virtuelle des informations in-formées et in-créées. L’inconscient psychologique s’efface devant la création conceptuelle lorsque celui-ci est nettoyé de ses traumatismes. Les traumas de l’inconscient psychologiques sont des socles sur lesquels les sentiments peuvent être créés.

Il est naturel que dans ce cas de figure, une personne colore ses comportements physiques par une subjectivité teintée de ses sentiments, ce qui fait d’elle une personne peu amène de comportements justes ou adaptés à la demande de son environnement. Pour que la création conceptuelle soit une forme juste et adaptée d’une action personnelle, il faut que l’inconscient psychologique soit nettoyé de ses traumas. En fait non, car la création conceptuelle s’appuie sur des schémas vitaux , donc ces concepts sont une composition émanant directement des flux de la vie en action, ce qui fait transposer toute la personne dans une unité consciente alliant le fonctionnement du système nerveux avec le fonctionnement de vie biologique. Peut-être est-ce là l’origine de l’expression » une personne juste agit avec son cœur « .

Il ne faut pas uniquement voir dans l’expression génétique la transcription d’une suite protéique suivant des instructions qui rendront cette protéine fonctionnelle. En effet l’énergie mise en jeu ici, autre que l’énergie chimique mitochondriale, est l’énergie d’une production radionique d’ondes physiques particulières, les ondes scalaires qui vont servir de captation de données métaphysiques qui gisent dans l’absolu présent et sont virtuellement communiquées mais non transmises . Ce qu’il faut retenir c’est que par le jeu de la création conceptuelle, les données in-créées et in-formées, permettent aux flux vitaux de se traduire en actions physiques cellulaires grâce à la formation d’informations sous la houlette d’un savoir individuel. La production du réel ainsi obtenu, guidée par une consciente active dont le but est de traduire les flux de matières organiques en représentation corporelle, puis sociale, pour établir l’être dans l’environnement.

Il s’agit ici de comprendre comment se génère l’Homme comme humain particulier faisant collectivement humanité, rassemblée par la somme des actes des consciences individualisées et centrées. De l’humanité ainsi faite, il ne reste que l’Homme transposé dans la nature sous une forme d’intelligence de soi, pouvant être reconnue personnellement, par le sens profond métaphysique qui est en chacun de nous.