L’attention sur Soi d’un rapport au physique

L’attention sur Soi d’un rapport au physique, se façonne lors de la reconnaissance de l’impact des affects. A titre personnel, quand l’esprit reconnait des affects, ceux-ci disparaissent se la conscience en entraînant les distorsions physiques qui sont liées aux biais psychologiques des comportements. Cela libère les comportements et les resserrent autour du noyau de l’esprit. C’est de cette manière que l’esprit peut devenir une structure vibrante, ce que laisse présager l’observation de l’existence des ondes cérébrales. Maintenant nous pouvons nous concentrer sur le rapport d’espace-temps, c’est-à-dire le rapport esprit-conscience que nous laisses entrevoir la connaissance subtile des études sur la physique fondamentale au cœur d’une Réalité naturelle.

Mais avant cela, essayons de percevoir la finalité d’un tel savoir sur le processus humanologique. Au niveau de cette approche de soi nous sommes confronté à un véritable labyrinthe de données cognitives dans lequel se discerne l’existence d’une entité fonctionnelle composée de règles, à laquelle nous attribuons le terme de « Moi psychologique ». Ces règles sont autant de comportements fins de l’esprit qui correspondent eux-mêmes à des décisions d’actions. Donc, plus nous délivrons l’esprit d’affects personnels et plus des décisions d’actions seront prises, ce qui rapproche d’autant plus l’esprit des capacités d’actions naturelles, et donne lieu à des facultés nouvelles de conscience. Ceci ressemble fort à un processus vertueux, qui fait du couple conscience-esprit, un moteur d’évolution individuelle.

Il va donc toujours exister par le labyrinthe de données, un nouveau Soi qui va servir de matrice à un corps de règles que l’on assimile à ce « Moi psychologique ». La conscience ainsi auto-définie par l’esprit, va donc apporter son lot de connaissances, dont les rapports façonnés entre eux établissent les quantités respectives d’espace et de temps sous couvert de quantité de conscience et de quantité d’esprit. Puisque nous sommes dans un contexte de micro-systèmes à états de conscience, nous remarquons alors, qu’il s’installe une relativité dans le rapport entre l’esprit et la conscience. Cette relativité va tendre vers un absolu à cause de la quantité de données traitées, venant des perceptions sensorielles et imaginaires, qui ne font que croître par le désir d’intégration des micro-systèmes esprit-conscience avec le système de vie représenté par l’être et son environnement. Ceux-ci sont traités par des informations venant des milieux où s’accomplit l’activité de l’esprit.

Dans un schéma directeur fonctionnel impliquant la personne, nous avons compris que les éléments culturels cèdent le pas aux éléments naturels, mais cela ne concerne que le monde dont l’horizon planétaire borde le champ de perception. Mais quand est-il lorsque nous ouvrons ce champ à la physique fondamentale, qui s’appuie sur les horizons microscopiques et macroscopiques, comme l’infiniment petit et l’infiniment grand ? Le monde abstrait qui fait face au monde concret ordinaire, nous ouvre alors en grand ce qui commence par une Réalité augmentée, se poursuit par une Réalité virtuelle et continue vers un changement de Réalité. Pour l’être personnel il s’agit alors d’accepter que son esprit s’ouvre de la même manière, pour lui permettre de voir que les éléments qui font sa culture puis sa nature, n’ont aucune raison de s’arrêter de façonner d’autres cultures et d’autres natures encore, dans une sorte de rythme d’évolution individuelle et collective.

Ainsi donc la question se pose de savoir à quel degré et avec quelle entité personnelle, une stabilité émotionnelle peut être garantie ? Aucune, car il existera toujours des sens conceptuels pour nourrir des états de conscience, par-contre la vitesse de fonctionnement de l’esprit prend de plus en plus d’importance dans ce processus, car cela permet la réalisation d’une stabilité psychologique naturelle en maintenant par son caractère évolutionnaire, le niveau d’avance nécessaire sur la formulation émotionnelle. Développons un peu cela.

Qu’est-ce qui peut être la caractéristique de la vitesse d’un esprit ? La connaissance qu’a cet esprit de la nature du temps commun, car cela va l’aider à comprendre comment il va pouvoir augmenter sa vitesse de fonctionnement. Pour cela, l’esprit assimile le système de sa personne à la société dans lequel évolue tous les être humains. Cette société peut être celle des hommes, mais aussi être plus générale et impliquée la nature de l’environnement (sociétal et naturel).

L’interdépendance des micros-états de conscience personnelles font la structure d’un organisme par les métadonnées générées de l’intégration fonctionnelle, sous la forme d’organes représentatifs d’un espace fonctionnel et d’un temps de fonctionnement propre. Au sein d’un être humain, les organes biologiques assument le rôle d’intégration d’un schéma directeur fonctionnel qui attribut à l’organisme ainsi conçu, un coefficient de vitalité propre à cet organisme.

Cet état opérationnel d’un corps physique, détermine qu’un schéma directeur fonctionnel responsable de la vie de cette structure peut être ordonné comme une alternance de construction/destruction d’éléments biologiques dont il ressort une mesure de vitalité de l’ensemble organique. Ce sont ensuite les composants de cette vitalité, qui sur le plan strictement physique, vont assumer le statut vibratoire à l’origine de leurs capacités biologiques. Nous pouvons donc dès à présent, comprendre pourquoi des ondes cérébrales produites par l’activité du cerveau peuvent d’ors et déjà avoir un impact sur l’ensemble d’une vitalité, et ce au travers de la régulation vibratoire des éléments du corps. En effet, la structuration des schémas comportementaux trouvent par la composition des fréquences de ces ondes cérébrales, une possibilité d’action en profondeur sur la vitalité, par l’intermédiaire des vibrations élémentaires la composant. C’est ainsi que nous nous rapprochons, de la superposition du codage génétique avec un type unique d’ondes cérébrales individuelles. La seule et unique signature électromagnétique d’un corps vivant.