Comprendre la nature de l’information, c’est se donner la possibilité de comprendre la mécanique de l’univers, ce qui par suite nous conforte dans la validité du champ de torsion physique comme opérateur du fonctionnement de tout ce que peut constituer l’espace-temps en terme de structure comme de fonction. Rappelons que l’espace comporte trois dimensions dans notre réalité et que le temps pour son implication avec l’espace comporte lui-aussi trois dimensions . En effet ce sont les interactions des éléments finaux avec les champs de torsion de l’éther mécanique , qui sont à l’origine de la production du vide électromagnétique, eux-même à l’origine des éléments naturels. Cette vectorisation fait aussi penser à la relation de cause à effet, dont on s’aperçoit qu’elle a un rapport étroit avec le temps, puisque nous constatons qu’une cause engendre avec le temps, un effet multiplicateur de puissance .
Nous puissions retrouver, dans les conditions particulières des éléments mis en présence, la possibilité de générer des structures dissipatives par recherche d’équilibre, exactement comme le ferait n’importe quelle entité vivante dans son milieu. Si l’information peut se dupliquer aussi facilement, c’est grâce à sa nature fractale. Ce qui fait qu’une information se génère par topologie ou n’est pas, elle est induite. Elle est ce par quoi elle est faite par ses données, ni plus ni moins, et il ne faut pas confondre information et communication.
Une information authentique est potentiellement libre, elle ne peut donc être contrôler que par son milieu et c’est pour cela qu’elle ne peut progresser que sous une forme fractale qui démontre la maîtrise de la propagation d’une information par son milieu . L’erreur fatale serait de croire que l’on s’approprie une information, car si cela était, elle se détruirait par destruction de la structure de son identité. Exemple, quand nous voulons obtenir l’information de l’heure qu’il est, nous consultons un affichage qui donne l’heure, mais avant cela il nous faut identifier le support de cet affichage pour obtenir l’identification de la mesure de l’heure. C’est cela l’information, seule des données d’un espace-temps suffisent à produire de l’information.
La machine le fait déjà, c’est l’intelligence artificielle et l’apprentissage profond qui va même jusqu’à faire émerger ses propres règles d’apprentissage. Grâce à la propriété de subjectivité de l’information, nous savons la quantité de données nécessaires pour fabriquer une information, donc sa quantité de temps . Reste à définir le contenu de cette information et là nous l’aurons compris, sur le plan naturel il s’agit de la variation de masse d’un objet, sous l’influence du champ de torsion de l’éther mécanique. Le non-attachement de l’être vivant ressort d’un détachement d’une identité face à son environnement, qui lui devient strictement virtuel dans un domaine psychique.