L’humain dans tous ses états


Quel type d’humain voulons nous être? C’est par ce questionnement que nous devons commencer une réflexion sur le statut de la santé individuelle. Commencer à l’origine de notre moi psychologique, impose en premier d’accepter le transfert de vie par des géniteurs, en somme des parents biologiques. Restaurer le sens d’une vie, c’est très tôt investir dans le développement d’une conscience. Celle ci est le jalon de l’exploitation et de l’expression des fonctions vitales.

La ressource de l’être pour le sujet, donne un pouvoir de création de nouvelles fonctions. L’expérience de la réalité ne se limite pas aux cinq sens, il faut y adjoindre un sixième sens représenté par l’intuition psychologique. Toute problématique prends son origine dans une interaction avec l’environnement et débouche sur une absence de solutions. Si ceci est pris comme une interrogation, le sujet génère un désir de créer des actions à même de proposer à l’esprit une nouvelle approche des problèmes en vu de leurs résolutions. Ce processus cognitif est primordial pour provoquer l’appel de nouvelles informations génériques à l’origine d’une création originale de fonctions, au sens de création propres du sujet se posant ces problèmes. C’est au pris de cet investissement organique, que la réalité des cellules souches prends toute son importance. Le caractère évolutif de la personne, trouve ici sa raison d’être, au travers d’un mécanisme de développement naturel, autorisé par le type de constitution génétique.

Le respect de la reproductibilité du caractère fonctionnel en accord avec l’être comme archétype de la fonction, définit la transformation intelligente de l’humain dans son espèce. L’être humain n’est donc pas si différent, que tous les autres types d’êtres gravitant au sein du monde. Seul le degré de complexité défini le niveau d’intégration fonctionnelle de la personne, ce qui permet de différencier sous la forme d’une hiérarchie de responsabilité, l’impact sur l’environnement de toutes les espèces. L’acteur clé de cette évolution humaine est donc la cellule organique.