L’interface intellectuelle humaine


L’intégration d’une fonction de compréhension intellectuelle est l’objet de ce par quoi une personne se comprends par elle-même et fait de cette intégration une part de sa conscience individuelle. Ce que relate la physique quantique est une manifestation possible chez un acteur, de l’opportunité de tirer parti d’une dualité onde-particule. Le simple fait que l’esprit puisse se retrouver dans ce processus vivant anime de la part de cette conscience le désir de connaissances. Il est indéniable qu’à ce stade, le sujet de connaissance puisse faire pensées du monde dans lequel il est immerger.

Cette strate fonctionnelle, par le jeu systémique de la relation psycho-organique va faire expression physique d’un Réel constitué par l’organisation cognitive du sujet. Il s’agit maintenant de montrer en quoi la jonction de l’instance de connections cérébrales a à voir avec les génomes cellulaires de l’organisme. Pour en revenir à la problématique intellectuelle, il faut savoir ce pourquoi la connectivité cérébrale à affaire avec la fonction conceptuelle. Ce résultat, en priorisant ce par quoi le moment vécu soit dans une possibilité d’intégration, à savoir l’organisme vivant où a lieu l’émergence de cette information.

Lorsque nous parlons de fonction intellectuelle, nous devons aussi penser quel serait son gradient de progrès ainsi que d’aborder la nature de ce gradient. Si dans un temps relatif nous voulons faire une augmentation de puissance énergétique, alors il faut changer de logique et passer de la logique discursive à une logique conjonctive . Cette causalité par liberté assume la montée en puissance d’une intelligibilité perçue par l’engagement conscient d’un sujet à vivre en intelligence avec son milieu. Il faut comprendre que la conscience se construit comme une trame dont les mailles sont des élémentaux matériels qui font organisme et sont agencés par l’intelligence sous forme d’informations.

La conscience devient espace de vision structuré par un organisme en vie dont l’activité des cellules assurent son autonomie. L’esprit individuel devient alors le récipiendaire des produits de cette vision en lui donnant un statut d’état d’humain. Par la bonne intégration due à l’intelligence collective des cellules, l’esprit individuel peut donc se véhiculer au grès d’un processus de multi-états de conscience. La logique d’activité des multi-états élémentaires assure à l’esprit une vision qui lui permet une déculpabilisation psychique du vécu grâce au processus de constitution de son espace conscient en temps réel.

Sur le plan du comportement individuel, l’utilisation des élémentaux matériels permis par la conscience est plus éthique que l’utilisation des personnes pour construire un esprit. Sur le plan social, nous sommes plus en droit de revendiquer une spiritualité forte quand elle est corrélée avec un matérialisme fort . La conséquence immédiate sur le plan psychologique est le retour de la responsabilité comportementale sur le statut de la personne, chacun est donc responsable de ses choix tels que sont libre-arbitre lui donne la possibilité d’assumer. La conjugaison des trois temps que sont le temps subjectif, le temps relatif et le temps imaginaire donne un pouvoir de fractionnement sur le temps objectif .

Si l’on associe à chaque fragment du temps objectif une action, nous pouvons ainsi reconnaître une matière par la désignation d’une quantité d’actions potentielles et donc attribuer un degré d’énergie à cette matière . Cette énergie est une puissance qui se manifeste sous la forme d’une force d’inertie qui va en représenter sa masse . Si nous poussons l’abstraction en utilisant la logique conjonctive, nous pouvons envisager d’utiliser le temps relatif pour affiner une conscience individualisée, jusqu’à la vision que peut donner, l’esprit par le traitement de l’information quantique portée par le spin des électrons .