Il nous faut quand même savoir que cet organe est alimenté par une quantité de sang plus importante , que le cerveau et les autres organes sauf les reins. De quoi se poser certaines questions sur sa véritable fonction. L’existence de cette dynamique de relations, semble par ses propriétés, ne pas avoir de direction particulière hormis le fait d’accepter un schéma de causalité qui ferait se relier un infiniment petit à un infiniment grand. Il revient donc à la fonction de l’être de donner un ordre à ce contexte, sachant qu’une hiérarchie de densité semble inverse à une hiérarchie de dimension, pour déterminer les formes de manifestation des phénomènes.
Ce que nous percevons fondamentalement ici, est la nécessité de reconnaître une conscience sans forme , dont le contenu contient tout, mais uniquement en puissance c’est-à-dire sans réalisations d’aucune sorte. Puisque les relations dans un contexte universel peuvent être de multiples formes, alors nous pouvons inscrire les relations humaines comme de simples relations particulières de ce contexte, un particularisme universel en somme. La constitution de l’être inclu de se faire sur une causalité déterminisme, ce qui fait de l’organisation de l’être une structure de raison à la seule condition d’épouser la ligne temporelle d’une causalité par liberté. C’est la seule et unique raison qui fait d’un quantum d’action, un acte de conscience car il s’agit de relier une fraction du rapport d’espace-temps humain à une conscience immanente qui les font naîtrez tout les deux.
Nous pouvons ainsi relier un quantum d’action à chacune des propriétés physique qui font les différentes strates d’un espace-temps humain, au travers des différentes configurations de relation, qui vont des comportements de l’énergie aux comportements macroscopiques des différentes matières. Tout ne sera qu’une question de degré de complexité lié au référentiel de conscience immanente. C’est une conscience dont le développement est inconscient et dont la charge de l’esprit individuel est de le rendre conscient. Il ne s’agit pas de voir un environnement avec nos seuls yeux physiques, mais aussi avec notre capacité à éprouver l’existence, faculté qui n’est redevable qu’aux propriétés du temps physique incarné par nos pensées.
C’est cela qu’arrive très bien à faire notre corps dans son ensemble, et c’est cela qu’il fait en premier puisqu’il n’existe qu’au travers de ce mécanisme d’espace-temps physique. Si nous suivons la directivité fonctionnelle de notre sang biologique, nous pouvons constater que le premier organe servi est le cœur, puis les reins, puis l’épiphyse, puis les autres organes. Il est quand même surprenant de voir que dans la composition de l’épiphyse, nous ayons des cristaux sensibles aux micro-champs électromagnétiques de l’univers physique. Enfin l’épiphyse se situe au centre géométrique de l’intérieur de la boite crânienne, de quoi comprendre que l’activité de cet organe est bien au centre d’une chaîne de production de réalité personnelle.
Qu’il n’est pas que la simple expérience qui se bornerait à rechercher un bien-être individuel. Garantir à l’esprit la possibilité d’une conscience vivante, lui offre les moyens de se connaître lui-même ainsi que son contexte. Rechercher un esprit de conscience, c’est pour l’être humain l’ouverture d’un fonctionnement qui lui assure un développement et une pérennité dans l’exploration de tout ce qui le fait exister. Le rapprochement progressif par la raison, d’un chemin de causalité par liberté, lui octroie la possibilité de tous les voyages possibles dans l’espace comme dans le temps, pour enrichir un esprit de connaissance.
N’oublions pas que la compréhension et l’acceptation d’un schéma directeur fonctionnel dans les affaires humaines, est le meilleur moyen de concevoir l’intégrité d’un corps de vie, ce qui engage profondément en bien, la santé psychique et somatique individuelle.