Une philosophie pratique de l’existence


La philosophie ou le comportement politique de l’action individuelle se définie pour l’approche fonctionnelle par trois principes

Les intérêts individuels sont propres à satisfaire la personne qui les exprime. Savoir cela nécessite une explication du monde tel qu’il est perçu permettant un engagement dans l’action par une politique comportementale propre. Le savoir individuel détermine l’intérêt personnel. La confrontation du savoir personnel face au savoir collectif polarise de ce fait l’intérêt de la possession.

Une psychologie: le meilleur moyen de comprendre le rapport personnel

La psychologie ou le comportement de la personnalité face à la perception de soi-même permet de révéler quatre aspects de la réalité du psychisme humain. Ce que l’on retient est le canevas intellectuel obtenu par réactivité affective corporelle. Faire c’est être, la réussite de l’action est le bien être qui occasionne le fait d’avoir eu une raison de faire. Savoir faire permet de pouvoir refaire.

L’humanité dans le sens de collectif humain, peut ainsi reconnaître et utiliser, si besoin est, une personnalité au travers de son acte propre.

Un principe de personnalité: ou comment découvrir le pouvoir personnel

La personnalité vue sous l’aspect fonctionnel crée deux axes de compréhension structurelle. Le principe du cortex primaire permet de représenter une cartographie des stimulants sous forme d’activations cellulaires spécifiques et ce d’une manière homogène. En effet, une structure organique travaille en temps réel, il faut donc pour préserver la stabilité structurelle organique que le traitement des informations se fasse simultanément ce qui nécessite une base commune. En effet les perceptions sont des objets mentaux qui sous le titre d’informations prennent une existence propre par le fait même d’un intérêt pour l’expression comportementale d’un stimulant et d’une capacité fonctionnelle physiologique à y réagir.

De par la propriété du cortex secondaire, le sentiment temporel trouve son existence par le fait même d’un anachronisme de la réaction comportementale face à la stimulation sensorielle. La recherche de la synchronicité s’exprime au travers du travail d’ajustement physiologique entre les capacités d’expression biologique des organes sensoriels structure réactive d’un même organisme. C’est l’évolution vers l’accomplissement de ce devoir qui forme l’essence des comportements d’une personne.