Nous sommes ici en présence des conditions d’apparitions d’un corps dont le fonctionnement des organes va produire une autonomie responsable de la formation d’un univers psychique. L’univers psychique ainsi créé est la source d’une intelligence dans les rapports de cet organisme avec son environnement par l’intermédiaire de ses fonctions vitales. La formation de règles mentales au sein de ce psychisme permet à la personne de se constituer une psychologie pour débattre en elle-même du bien fondé de ces choix comportementaux. Le développement d’un esprit indépendant favorise la clôture de soi par une gestion intelligente de l’autonomie, dévoilant ainsi le corps physique constitué et en vie.
Ce développement s’appuie sur une pratique de l’intelligence personnelle dans l’acquisition de savoirs qui feront de cette personne un être cognitif, dont le ressort de progression va le faire passer par la formation d’une conscience interpellant son environnement. La double interaction de cet être envers l’humanité et la nature, oblige la personne à dédoubler sa réponse adaptative. Le fractionnement de sa personne, par le dédoublement d’intérêt, ne peut réaliser l’unité de soi. Cet être humain sera source d’indépendance dans l’exploitation de données énergétiques issues des propriétés géométriques et arithmétiques des molécules d’ADN, faisant d’elles des matrices de vortex émetteurs d’ondes scalaires .
Les facultés cognitives explorent les champs subjectifs ouvert par la conscience axée sur la sensibilité grâce à l’utilisation de la capacité conceptuelle. Ce comportement de conquête de l’intelligence sert l’intérêt supérieur de soi-même en faisant émerger par ses fonctions vitales, une âme métaphysique d’un corps biologique sous le mode personnel d’une indépendance d’être excluant toutes causalités autres que celles issues de ses fonctions vitales et de ses propres pensées. Cet être humain libre de toutes ingérences et révélatrices d’une vraie liberté de création.