Au sein de la nature naît la volonté d’indépendance par opposition au domaine d’autonomie développé par celle-ci. Cette capacité d’indépendance doit transformer les comportements autonomes en comportements d’interdépendances nourrissant des échanges perpétuels d’énergies, de matières et d’informations au profit de l’instauration des états d’être. Oui et non, oui parce que cela est une perception réelle d’une observation physique, et non car en fait elle n’est pas située qu’à l’extérieur de l’observateur qui la mesure, mais aussi inhérente à l’absence de prise en compte de la transformation de toute structure naturelle comme le fonctionnement du corps de l’observateur. Reconnaître la nature, c’est établir les conditions de vie à l’origine des consciences productrices d’autres formes de nature, c’est le cycle fondamental de l’existence phénoménale qui semblerait-il, n’a aucune origine et aucune fin, et peut se traduire comme un flux de manifestations orientées par elle-même.
La différence intrinsèque de tous ces états de conscience, est le degré de complexité des énergies en jeu pour leurs formations, ce qui en fait une signature de vie sur le paysage naturel. Le rapport de conscience/inconscience, délivre une hiérarchie de pouvoir et de responsabilité qui donne la possibilité des fonctionnements. Ainsi l’entendement conscient se développe à la mesure d’une intelligence à dévoiler des informations de son milieu pour en assurer une croissance des états de conscience. Ce développement à son intérêt, celui de développer l’expression génétique individuelle au sein de la sphère biologique des corps.
Nous serions donc transformés en trajectoire individuelles de perception par des autres êtres composant notre milieu de vie, et ainsi serions soumis à des diktats autres que ceux que nous avons choisis. Mais c’est impossible car cela serait du nihilisme, et personne ne veut être ou s’annihilé volontairement. Donc si par le fait d’être humain, notre comportement de raison est d’être conscient, alors il n’est absolument pas juste de vouloir sa propre mort. Il faut donc discriminer cette conscience, en effet, privilégier le comportement de conscience ne demande pas d’être pleinement conscient, mais d’avoir un mécanisme d’intelligence pure qui servira une conscience relative.
La différence est cruciale, une pleine conscience s’obtient par désistement de soi au profit d’autres , une conscience relative s’obtient par l’élévation du discernement intelligent à reconnaître ce qui est de l’ordre d’un Soi supérieur inhérent à son espèce, à la différence de ce qui étranger à ce Soi supérieur . Donc ce qui fait la force personnelle d’un être humain est sa capacité à cibler la conscience relative et non la pleine conscience, le choix des mots est l’acte primordial dans la description d’une réalité . Aujourd’hui ce qui est vraiment important c’est le process humain, lorsque nous voulons trouver l’instrument d’évolution personnelle. Un process est une suite fonctionnelle d’instructions, et l’instruction est une quantité d’énergie , donc la source de cette énergie, c’est-à-dire les forces en déplacements, deviennent la chose la plus importante à avoir pour déclencher la manifestation d’une vie individuelle.
Ici nous entrons dans un domaine vraiment extraordinaire, et cela s’avère exact en tout point à l’originalité d’une conception relativisée. La création du savoir par l’Homme ne servirait qu’à produire un foyer résonnant d’ondes cérébrales équivalentes aux ondes gravitationnelles à l’échelle humaine, qui permettraient l’homogénéisation des propriétés physiques du corps vivant, établies par conscience d’état. Cette propriété physique donne la possibilité du changement d’état de la conscience au sein d’un espace-temps dont l’Homme en serait issu où s’appliquerait la relativité absolue des pensées prises comme des phénomènes physiques, et que nous classerions comme objets naturels. Ces phénomènes seraient soumis à leurs propriétés physiques, ce qui accrédite la thèse du landscape universel car il n’existerait pas de lois physiques autres que des interactions globales et probabilistes.
Les mécano-récepteurs du système nerveux, implantés dans les sutures crâniennes, enverraient des informations au cortex cérébral sur les positions relatives du corps induites par les métabolismes locaux. Ces informations se combineraient avec les réactions musculaires générées par la conception virtuelle de l’holographie personnelle transmis par le système nerveux. Nous avons donc la possibilité de concevoir des états de conscience impliquant jusqu’à la nature la plus fine des phénomènes naturels, allant jusqu’à la conception du mécanisme de prévalence de la matière sur l’antimatière . En effet du fait d’une relation qui unirait une onde à sa particule et qui serait traitée par une approche de relativité absolue, ce qui permettrait au temps et à l’espace de se générer dans un rapport inversement proportionnel ce qui formerait l’indissociabilité de l’esprit avec la matière sous la forme d’états particuliers d’une conscience de relation.
Il reviendrait au génome de codifier ces possibilités de conscience par la réalisation de ses états de matière, ce qui impliquerait la liberté absolue de sa condition d’origine , d’où le mécanisme de causalité par liberté adopté par l’esprit pour le faire fonctionner universellement.