Le cadre du potentiel, il nous faut envisager comment se comporte un déploiement de structures et de fonctions qui soit compatible avec ce que l’on considère être un fonctionnement humain. Le potentiel structurel fait référence à une téléologie d’omnipotence, ce qui pour un être humain peut s’exprimer par le plus haut degré d’esprit qu’il puisse être amené à concevoir . Le potentiel fonctionnel fait référence à une téléologie d’omniscience, ce qui pour l’être humain induit à la plus haute capacité d’une fonction à être intégrée dans un système vivant. En ce qui concerne l’omnipotence, le cerveau par son développement complexe, aboutit à la construction de réseaux connectés, dont le produit d’activités forment des ondes qui représentent les outils les plus efficients dans le domaine physique.
En ce qui concerne l’omniscience, le cœur développe sa fonction par la création de ses vaisseaux périphériques qui alimentent un système organique, dont la coopération implique un développement qui n’a pour limite que la capacité fonctionnelle du cœur à alimenter un circuit sanguin. La qualité de ces fonctions va dépendre du niveau d’utilisation d’un libre-arbitre individuel, qui lui va dépendre d’un discernement d’une intelligence de situation. Celle-ci est tributaire des dimensions perçues dans le champ de conscience universelle. Cette réalisation est un pur produit du penser qui amène à la reconnaissance d’un « je suis », identité objective d’un être humain.
Il est à noter que la chaîne d’ADN est assimilable à un composé de plusieurs virus et nous en retrouvons effectivement un certain nombre qui jalonne l’histoire des hommes au sein même de l’ADN. La molécule d’ADN est dite auto-répliquante, mais cela n’est pas tout-à-fait juste de la définir comme telle. En effet une structure d’ADN répond en fait à une stimulation de son environnement, nous pourrions dire à son milieu immédiat. Le milieu du noyau cellulaire est un milieu composé de biomolécules dont l’interaction avec la chaîne d’ADN dépend essentiellement de l’action de l’ion calcium dans le cytosol .
Nous passerons l’ensemble des cascades métaboliques au sein de la cellule, pour ne garder que l’action initiale d’une réponse de l’ADN face à une demande biomoléculaire initiée par les métabolismes cellulaires . Il faut bien se rendre compte qu’une mise en situation d’un corps avec son environnement est toujours médiatisée par des représentations mentales que se fait l’esprit d’un environnement extra-corporel. Donc plus un esprit sera constitué d’une représentation fidèle de l’environnement et plus sera précise la réponse de l’organisme. Il n’y a donc rien à attendre d’un environnement extra-corporel immédiat pour amener l’ADN individuel à exprimer la juste expression de celle-ci, car cet environnement est incomplet.
En effet rappelons que la nature physique du corps sous-entend que celui-ci soit d’une stricte composition biophysique à partir des composés constitués par le processeur stellaire qui représente les conditions de la nucléosynthèse cosmique . Ne l’oublions pas, toutes les structures d’un corps sont des structures biophysiques, c’est-à-dire des propriétés physiques calculées à partir de structures matérielles. Il faut donc passer au mode de conception numérique pour générer des représentations holographiques , à partir d’informations mesurant le degré de complexité nécessaire à la reproduction fonctionnelle d’une structure universelle. Il nous faut bien comprendre que nous passons ici de l’ère planétaire à l’ère cosmique, ce qui obligatoirement engage toutes les représentations physiques des existants, homme compris.